Dans les Pyrénées françaises, les parois de la grotte de Niaux sont couvertes d'impressionnantes images dessinées par des hommes de l'ère préhistorique. La datation au carbone nous informe qu'elles remontent à 14.000 ans. Ces peintures furent découvertes en 1906 et ont été, depuis, étudiées en détail. La partie la plus décorée de la cave se situe dans une chambre latérale formée dans une haute cavité, dans une partie sombre appelée le Salon Noir. Dans son livre The origin of modern humans (L'origine des humains modernes), Roger Lewin, fait le commentaire suivant à propos de cette partie couverte de représentations de bisons, de chevaux, de cerfs et de bouquetins : ... arrangés en panneaux et donnant l'impression de la prévoyance et de la délibération dans leur exécution.12
Cette technique hautement avancée est la preuve que les hommes du passé ne peuvent nullement être assimilés à des créatures primitives. Depuis sa première apparition l'homme a toujours été un être supérieur, capable de penser, de parler, de raisonner, de comprendre, d'analyser, de planifier et de produire. Il est, par conséquent, totalement irrationnel et illogique de prétendre que les hommes qui utilisaient dans leurs peintures des liants tels que le talc, la baryte, le feldspath de potasse et la biotite venaient à peine de descendre des singes et commençaient tout juste à se civiliser.
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La contradiction entre les vestiges archéologiques laissés par les hommes du passé et les vestiges anatomiques et biologiques, qui auraient dû exister selon les évolutionnistes, infirme une fois de plus les théories des darwinistes sur la question. Les évolutionnistes avancent que le développement culturel des hommes doit être directement proportionnel au développement biologique. Les hommes doivent donc d'abord exprimer leurs émotions à travers de simples dessins, puis les enrichir graduellement jusqu'à ce que leur développement atteigne l'accomplissement artistique. Or, les plus anciens vestiges artistiques de l'histoire humaine remettent complètement en cause cette supposition. Les peintures rupestres, les gravures et les reliefs, considérés comme les premières œuvres d'art, prouvent que les êtres humains possédaient bel et bien un sens élevé de l'esthétique.
Les scientifiques ayant effectué les recherches dans les grottes estiment que ces représentations sont certaines des pièces les plus importantes et les plus précieuses de l'histoire de l'art. L'ombre, les perspectives, la finesse des lignes, la profondeur des sentiments reflétée dans les reliefs et les formes esthétiques qui apparaissent lorsque le soleil frappe les gravures ne peuvent être expliqués par les évolutionnistes car selon le point de vue darwiniste ce développement n'aurait dû apparaître que beaucoup plus tard.
LES TRAVAUX DECOUVERTS DANS LA CAVERNE DE BLOMBOS ANEANTISSENT LE SCENARIO Les découvertes au cours de fouilles dans les cavernes de Blombos sur la côte d'Afrique du Sud ont une nouvelle fois bouleversé le scénario de l'évolution humaine. Le Daily Telegraph couvrit l'histoire sous le titre "L'homme de l'âge de pierre n'était pas si bête". De nombreux journaux et magazines reprirent également l'histoire, relayant que les théories sur l'homme préhistorique nécessitaient d'être révisées. BBC News indiquait, par exemple : "Les scientifiques disent que la découverte montre que les modes de pensée moderne se développèrent beaucoup plus tôt que nous le pensions."
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DES IMAGES STUPEFIANTES DANS LA GROTTE DE CHAUVET Les peintures découvertes dans la grotte de Chauvet en 1994 suscitèrent une réaction importante dans le monde scientifique. Avant cela, les œuvres d'art en Ardèche, les dessins de 20.000 ans à Lascaux et ceux de 17.000 ans à Altamira en Espagne avaient tous attiré une attention considérable. Les dessins de Chauvet se sont avérés beaucoup plus anciens. La datation au carbone donne une estimation de 35.000 ans. Voilà quelques-uns des commentaires à ce propos dans le magazine National Geographic : Les premières photographies captivèrent aussi bien les spécialistes que le grand public. Depuis des décennies, les savants avaient théorisé que l'art avait progressé en lentes étapes, depuis des tracés primitifs jusqu'à des rendus vivants et réalistes... Environ deux fois plus anciens que celles des grottes célèbres, les peintures de Chauvet représentaient non pas l'apogée de l'art préhistorique mais seulement ses débuts connus.14
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De nombreuses peintures rupestres découvertes en France, en Espagne, en Italie, en Chine, en Inde et en différentes régions d'Afrique fournissent d'importantes informations sur la structure du passé culturel de l'humanité. Les techniques de style et de coloration utilisées sont d'une telle qualité qu'elles étonnent les chercheurs. Les scientifiques darwinistes persistent néanmoins à les évaluer à travers leurs propres préjugés, interprétant ces travaux de manière biaisée pour les faire concorder avec les contes de fées de l'évolution. Selon eux, les créatures qui venaient de devenir des humains dessinaient les animaux qu'elles craignaient ou chassaient dans les conditions extrêmement primitives des cavernes où elles vivaient. Pourtant les techniques employées dénotent que les artistes étaient doués d'un impressionnant sens artistique.
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Représentations de vaches dans la grotte de Lascaux
Les mouvements et la vie sont parfaitement reproduits dans ces peintures, dont l'attrait et la qualité égalent les œuvres des artistes ayant reçu une formation académique. Il est impossible d'affirmer que l'auteur de ces images était mentalement sous-développé. |
En haut : des représentations animales de Lascaux datant de 17.000 ans |
Un reportage sur le site de la BBC intitulé "Le plus ancien calendrier lunaire identifié" contenait des informations réfutant une fois de plus la théorie darwiniste de l'"évolution des sociétés". |
Les techniques de peinture utilisées montrent également que les hommes ne vivaient pas dans des conditions primitives. Et d'ailleurs comment les peintures rupestres permettent-elles de dire que les hommes vivaient dans des cavernes ? Ces artistes avaient peut-être élu domicile dans des abris alentours et choisi de peindre sur les murs des grottes. Quelles émotions et quelles pensées les ont poussés à dessiner est un mystère connu de l'artiste seul. Nombre de spéculations furent avancées, la plus irréaliste étant de dire que ces peintures furent élaborées par des êtres à l'état primitif. Un rapport publié sur le site web de BBC Science le 22 février 2000 dit de ces peintures rupestres :
- ... Nous pensons qu'elles furent créées par des êtres primitifs... Mais selon deux scientifiques travaillant en Afrique du Sud, cette opinion de peintres anciens est totalement fausse. Ils croient que ces peintures sont la preuve d'une société moderne et complexe.11
Si des œuvres d'art d'aujourd'hui devaient être analysées avec la même logique dans des milliers d'années, de nombreux débats poseraient la question de savoir si la société du 21ème siècle était une société tribale primitive ou une civilisation avancée. Si des œuvres d'artistes modernes restaient intactes pendant les cinq mille prochaines années, et si aucune documentation écrite à propos du présent ne survivait, que penseraient les hommes du futur à propos de notre époque ?
S'ils tombaient sur une peinture de Van Gogh ou de Picasso et l'évaluaient d'un point de vue évolutionniste, comment verraient-ils notre société ? Les paysages de Claude Monet inspireraient-ils des commentaires comme "l'industrie ne s'était pas encore développée et les hommes avaient un mode de vie agricole" ? Que déduirait-on des œuvres de Wassily Kandinsky : "Ces hommes encore incapables de lire et d'écrire communiquaient à travers des gribouillages" ? Ces interprétations leur permettraient-ils de comprendre notre société ?
DES RELIEFS ET DES DESSINS EN AFRIQUE DU NORD ETONNENT LES EVOLUTIONNISTES Ces reliefs de girafe remontant à 7.000 ans furent si parfaitement conçus qu'ils donnent l'impression que le troupeau est en mouvement. Ce travail est clairement l'oeuvre d'individus pensants, capables de juger et de s'exprimer, et doués d'un sens artistique. Cette peinture vieille de 7.000 ans représente un homme jouant d'un instrument de musique. La récente photographie ci-dessous présente un membre des Dzu, une communauté d'autochtones au Botswana, jouant d'un instrument similaire. Le fait est qu'un instrument remontant à 7.000 ans est encore en usage aujourd'hui ! Il s'agit d'un autre exemple abolissant les théories darwinistes. La civilisation ne va pas toujours en avant, comme l'affirment les évolutionnistes. Parfois, elle stagne pendant des milliers d'années. En Afrique, cet homme continue à jouer d'un instrument ayant existé 7.000 ans auparavant, alors que de l'autre côté de la planète, des symphonies digitales sont composées avec la technologie informatique de pointe. Les deux cultures coexistent en même temps. Cette représentation d'un homme jouant de la flûte de 7.000 ans montre que les hommes possédaient une culture de la musique, et étaient par conséquent mentalement développés et cultivés. |
CATAL HUYUK, CONSIDEREE COMME LA PREMIERE VILLE DE L'HISTOIRE, REFUTE L'EVOLUTION Remontant à 9.000 ans av. JC, Catal Huyuk est considérée comme l'une des premières villes connues dans l'histoire. Ses premières découvertes initièrent de grands débats dans le monde archéologique et confirmèrent une fois de plus l'erreur des évolutionnistes. L'archéologue James Mellart décrit son étonnement face au stade avancé de la région :
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DES LANCES DE 400.000 ANS ETONNERENT LES EVOLUTIONNISTES En 1995, l'archéologue allemand Hartmut Thieme découvrit un nombre de vestiges en bois à Schöningen en Allemagne. Il s'agissait de lances soigneusement fabriquées, soit, les outils de chasse les plus anciens jamais découverts à ce jour. Cette découverte causa un certain émoi parmi les évolutionnistes, pour qui la chasse systématique ne remonte qu'à 40.000 ans, lorsque les hommes modernes venaient soi-disant juste de faire leur apparition. Pour que les lances de Clacton et Lehringen, découvertes plus tôt, concordent avec le mensonge évolutionniste, elles furent rétrogradées comme étant des bâtons pour creuser ou des sondes pour la neige.18 En réalité, les lances de Schöningen remontaient encore plus loin dans le temps - à 400.000 ans. Par ailleurs, il n'y avait aucun doute sur leur âge, car Robin Dennell, l'un des archéologues de l'Université de Sheffield dont l'article fut publié dans le magazine Nature, affirma lui-même qu'il était impossible d'altérer leur date ou de mal les interpréter :
Ces lances s'avérèrent si étonnantes pour les scientifiques évolutionnistes parce qu'ils s'imaginaient que les hommes soi-disant primitifs de cette époque manquaient d'habileté pour fabriquer de tels objets. Pourtant, ces lances sont bien le produit d'un esprit capable de calculer et de planifier des étapes. Le tronc d'un épicéa d'environ 30 ans servit pour chaque lance, et son bout provenait de la base de l'arbre, là où le bois est le plus dur. Chaque lance fut conçue dans les mêmes proportions, avec un centre de gravité situé à un tiers du bout pointu.
Thieme, qui découvrit les lances, dit :
Comme l'affirment Hartmut Thieme et Robin Dennell, les hypothèses darwinistes concernant l'histoire de l'humanité ne reflètent pas les faits. La vérité est que jamais l'humanité ne subit l'évolution. Des civilisations arriérées ainsi que d'autres très développées ont existé par le passé. |
TRACES DE CIVILISATION SUR GOBEKLI TEPE
Les scientifiques qualifièrent d'"extraordinaires et sans pareilles" les découvertes réalisées au cours de fouilles à Göbekli Tepe, près d'Urfa en Turquie. Il s'agit de piliers géants en forme de T, plus grands qu'un homme et de 20 mètres de diamètre, ornés d'animaux en relief. Ils étaient arrangés en cercle. Le monde scientifique estime que le site date de 11.000 ans. Selon les évolutionnistes, les hommes de cette époque n'auraient eu à leur disposition que des outils rudimentaires en pierre pour construire ce site. Cette merveille de génie aurait été l'œuvre de chasseurs et cueilleurs et de leurs outils très primitifs il y a quelques 11.000 années. Cela est bien évidemment assez peu crédible. Le professeur Klaus Schmidt, qui dirige l'équipe de fouilles à Göbekli Tepe, corrobore cette invraisemblance en affirmant que les hommes de cette époque semblaient avoir la capacité de penser. Contrairement à ce que l'on s'imagine, poursuit Schmidt, ces hommes n'étaient pas primitifs et ne doivent pas être considérés comme des créatures simiesques, venant de descendre des arbres et tentant de bâtir une civilisation. En termes d'intelligence, ils semblaient être comme nous.22 Schmidt mena une petite expérience pour déterminer comment ces piliers géants avaient pu être transportés dans les conditions de l'époque et comment ils furent taillés. Lui et son équipe tentèrent de graver un géant bloc de roche sans l'assistance de machines, et uniquement au moyen des outils primitifs supposés être en usage chez les hommes préhistoriques d'après les évolutionnistes. Ensuite, ils essayèrent de le transporter sur une courte distance. Une partie de l'équipe s'attaqua aux pierres avec des rondins de bois, des cordes et du muscle, formant de simples et naturels treuils. D'autres membres de l'équipe essayèrent de créer une cavité dans la base avec des outils manuels en pierre, comme les maçons d'il y a 9.000 ans. (Selon la vision évolutionniste de l'histoire, puisqu'il n'y avait pas d'outils en fer à cette époque, les hommes de la prétendue âge de pierre utilisaient des pierres à feu dures.) Au bout de deux heures de travail ininterrompu, les ouvriers ne firent qu'obtenir une vague ligne gravée dans la pierre. L'équipe de douze hommes chargée de déplacer le bloc de pierre travailla dur pendant quatre heures pour ne parvenir à le bouger que de sept mètres. Cette simple expérience révéla que le labeur de centaines d'ouvriers pendant des mois aurait été nécessaire pour former un simple cercle de pierres. Les hommes du passé disposaient, sans aucun doute, d'une expertise avancée à la place des méthodes primitives suggérées par les scientifiques évolutionnistes. Un autre non-sens de la chronologie évolutionniste réside dans le fait que cette période où ces travaux furent réalisés corresponde au néolithique précéramique". Selon cette interprétation irréaliste, les hommes de cette époque n'avaient pas encore la technologie nécessaire à la fabrication de la céramique et de la poterie. Sachant qu'ils avaient des statues, qu'ils transportaient des pierres géantes qu'ils transformaient en piliers, qu'ils gravaient des bas-reliefs, qu'ils ornaient leurs murs de peintures et qu'ils employaient leurs connaissances en ingénierie et en architecture, peut-on continuer à prétendre qu'ils ne savaient pas faire des pots en terre ? Les évolutionnistes persistent dans leur entêtement uniquement pour protéger leurs idées préconçues. Les objets en question montrent indéniablement que leurs auteurs appartenaient à une civilisation plus avancée que l'on ne croyait, et dont le savoir et les capacités technologiques s'avérèrent bien plus pointus. Ces hommes n'avaient par conséquent rien de primitif. Un article dans le magazine turc Bilim ve Teknik (Science et Technique) dit que les découvertes de Göbekli Tepe dévoilent une idée fausse répandue à propos de l'histoire de l'humanité : Ces données nouvelles révèlent une erreur majeure concernant l'histoire de l'humanité. Cette erreur provient de l'interprétation faite de l'histoire à la lumière de la fausse théorie de l'évolution.23
Pour tailler la pierre, divers outils du fer le plus solide ou d'acier sont nécessaires... Tout comme les tailleurs de pierre d'aujourd'hui, ces constructeurs et ces artisans du passé avaient recours à de tels outils en métaux pour couper et façonner les pierres... |
Grâce à des fouilles menées au Pakistan, on sait désormais qu'il y a 8.000 ans, les dentistes perçaient les dents pour soigner les caries. Au cours de ces fouilles, le professeur Andrea Cucina de l'Université de Missouri - Columbia remarqua de minuscules trous d'un diamètre de 2,5 millimètres environ, sur des molaires datant de 8.000 à 9.000 ans. Impressionné par la perfection de ces trous, Cucina fit analyser ces trous au microscope électronique. Lui et son équipe conclurent que ces trous étaient trop parfaits pour avoir été causés par une bactérie. Il ne s'agissait donc pas de cavités naturelles, mais bien du résultat d'une intervention artificielle, dans le but de traiter la dent. Aucune dent ne présente les signes de carie. Ce qui d'après le magazine New Scientist, "peut être simplement le témoignage de l'habileté des dentistes préhistoriques". |
Ces objets et ces découvertes archéologiques soulèvent une série de questions auxquelles le darwinisme, qui soutient que les êtres humains et les singes descendent d'ancêtres communs, ne peut répondre. Comment et pourquoi les créatures simiesques supposées avoir vécu il y a des dizaines de milliers d'années, s'exprimant par des grognements et menant un mode de vie animal, ont-elles commencé à devenir des êtres sociaux ? Il s'agit d'un véritable dilemme pour les évolutionnistes. La théorie de l'évolution ne dispose pas de réponses scientifiques et rationnelles pour expliquer comment ces créatures simiesques descendirent des arbres, comment elles décidèrent de se mettre debout sur deux jambes et comment leur intelligence et leurs capacités se développèrent. Leurs "explications" ne sont rien moins que des idées préconçues et des contes de fées issus de l'imagination. Comment des singes sautant d'une branche à une autre ont-ils décidé de descendre sur le sol ? A cette question, les évolutionnistes diront que les facteurs climatiques en sont la cause. La théorie de l'évolution n'apporte pas de réponses rationnelles et logiques aux premières interrogations qui viennent à l'esprit. Pourquoi les autres singes ont-ils décidé de rester sur les arbres, alors qu'ils auraient pu imiter ceux qui en sont descendus ? En premier lieu, il convient de préciser que l'évolution de la bipédie n'a jamais existé. Les êtres humains marchent debout sur deux jambes - une forme de locomotion très particulière et inexistante chez d'autres espèces. Par ailleurs, il faut souligner que la bipédie ne constitue absolument pas un avantage de l'évolution. Les mouvements des singes sont beaucoup plus simples, rapides et efficaces que la démarche bipède. Par ailleurs, la bipédie ne s'accorde pas avec le modèle de "développement graduel" du darwinisme, qui constitue pourtant une base de l'évolution et requiert une démarche intermédiaire entre la bipédie et la quadrupédie. Or, grâce à des recherches informatiques menées en 1996, l'anatomiste anglais Robin Crompton démontra qu'une telle démarche hybride était impossible. La conclusion de Crompton est sans équivoque : un être vivant peut marcher debout ou à quatre pattes. Un mélange entre les deux types de démarche est impossible car cela supposerait une consommation énergétique excessive. Par conséquent, le mi-bipède n'existe pas. Comment des êtres dits primitifs ont-ils développé un comportement social intelligent ? Le non-sens évolutionniste veut qu'en vivant en groupes, ces êtres aient développé un comportement social intelligent. Pourtant, il semble que les gorilles, les chimpanzés, les singes et d'autres espèces animales vivent également en groupes ou en meutes sans toutefois développer un comportement social intelligent à la manière des hommes. |
LES EVOLUTIONNISTES N'ONT PAS DE PREUVES A L'APPUI DE LEURS THEORIES |
DES DECOUVERTES REFUTENT LA REPRESENTATION EVOLUTIONNISTE DE L'HISTOIRE DE L'HUMANITE Les preuves fournies dans The hidden history of the human race : forbidden archeology par les archéologues Michael A. Cremo et Richard L. Thompson, bouleversent l'image de la prétendue évolution de l'humanité présentée par les évolutionnistes. Les documents du livre proviennent des périodes historiques totalement inattendues - du point de vue évolutionniste. Dans les années 50, Thomas E. Lee, un anthropologue au National Museum de Canada dirigeait des fouilles à Sheguiandah, sur l'île de Manitoulin dans le lac Huron. Il y découvrit des outils dans une couche de till, un dépôt de sable et de gravier laissé par les glaciers qui reculent. Dans son livre Ancient Traces (Traces anciennes), le chercheur et écrivain anglais Michael Baigent décrit qu'une chaîne en or datant de 320 à 260 millions d'années fut découverte en 1891. Il apparut que cette chaîne était faite d'un or de huit carats, c'est-à-dire de huit parts d'or mélangées avec seize parts d'autres métaux. Le milieu de la chaîne s'était détaché du morceau de charbon où elle était enfermée, laissant ainsi d'excellentes empreintes, tandis que les deux bouts de la chaîne restaient fermement incrustés. Cela permet de dire que la chaîne est aussi vieille que le charbon lui-même. L'âge de la couche carbonifère où la chaîne fut découverte est estimé à 320 à 260 millions d'années. Le fait qu'une société utilisent des bijoux et fabriquent des articles d'ornements prouve que ses citoyens menaient une vie civilisée. Sans compter que la fabrication d'une chaîne en or requiert une expertise et un équipement technique. On ne peut fabriquer une chaîne régulière à partir du minerai d'or en utilisant uniquement des outils en pierre. Il semble désormais évident que les hommes vivant des millions d'années avant nous, connaissaient la joaillerie et prenaient plaisir dans les belles choses.
Ces quelques exemples indiquent que l'homme n'a jamais été un être à moitié animal ni n'a vécu une vie animale, comme veulent nous le faire croire les évolutionnistes. Après cette énumération, Michael Baigent poursuit avec le commentaire suivant :
L'histoire de l'archéologie est riche en découvertes, face auxquelles la mentalité évolutionniste conventionnelle décrite par Baigent est dans une situation sans espoir. Les évolutionnistes préservent ces spécimens soigneusement en dehors du regard du public et les ignorent eux-mêmes. |
Les recherches révélèrent que les hommes ayant vécu il y a des milliers d'années utilisaient des outils similaires à ceux utilisés dans certaines zones rurales aujourd'hui. Des meules pour moudre les céréales, un mortier en pierre et des faucilles furent découverts dans les fondations d'une hutte remontant à 15.000 ans av. JC sur le site de fouilles de "Ein Gev I" en Palestine actuelle. Le plus ancien de ces outils date d'avant 50.000 ans av. JC. Tous les objets issus de ces fouilles rappellent que les besoins de l'humanité sont restés les mêmes au cours du temps. Les solutions que l'homme développa sont très similaires, en proportion directe avec la technologie de l'époque. Les outils pour la moisson et la mouture des céréales étaient également déjà utilisés durant la période en question. |
Harun Yahia
(extrait du livre de l'auteur " un mensonge de l'histoire)
article suivant UN MENSONGE DE L’HISTOIRE: L’AGE DE PIERRE - VESTIGES ETONNANTS DE CIVILISATIONS ANTIQUES
NOTES /
12. Lewin, The Origin of Modern Humans, p. 148-149
13. Ibid., p. 149.
14. Jean Clottes, "Chauvet Cave: France's Magical Ice Age Art," National Geographic, Août 2001, p. 156.
15. Dr. David Whitehouse, "Ice Age Star Map Discovered," BBC News, 9 Août 2000, en ligne à l'adresse
16. http://www.goldenageproject.org.uk/108catalhuyuk.html
17. Fenomen, 15 septembre 1997, p. 45.
18. Robin Dennell, "The World's Oldest Spears," Nature, vol. no. 385, 27 février 1997, p. 767.
19. Ibid.
20. Ibid., p. 768.
21. Hartmut Thieme, "Lower Palaeolithic Hunting Spears from Germany," Nature, vol. no. 385, 27 février 1997, p. 807.
22. Tas Devrinde Yasam ("Life in the Stone Age"), Terra X Documentary Film, TRT.
23. Bilim ve Teknik ("Science et Technologie"), Septembre 2000.
24. Philip Cohen, "Open Wide," New Scientist, no. 2286, 14 avril 2001, p. 19.
25. Glynn Isaac, Barbara Isaac, The Archaeology of Human Origins, Cambridge: Cambridge University Press, 1989, p. 71; C.B.M. McBurney, The Haua Fteah (Cyrenaica), Cambridge: Cambridge University Press, 1967, p. 90.
26. Vadim N. Stpanchuk, "Prolom II, A Middle Palaeolithic Cave Site in the Eastern Crimea with Non-Utilitarian Bone Artefacts," Proceedings of the Prehistoric Society 59, 1993, pp. 17-37, pp. 33-34.
27. Paul Mellars, The Neanderthal Legacy, Princeton: University Press, 1996, p. 17; Vadim N. Stpanchuk, "Prolom II, A Middle Palaeolithic Cave Site in the Eastern Crimea with Non-Utilitarian Bone Artefacts," Proceedings of the Prehistoric Society 59, 1993, pp. 17-37, p. 17.
28. ""Neandertals Lived Harmoniously," The AAAS Science News Service, 3 avril 1997.
29. Ruth Henke, "Aufrecht aus den Baumen," Focus, vol. no. 39, 1996, p. 178.
30. Elaine Morgan, The Scars of Evolution, New York: Oxford University Press, 1994, p. 5.
31. Chi, Avril 2005, p. 46.
32. Michael Baigent, Ancient Traces: Mysteries in Ancient and Early History, England: Penguin Books, 1999, pp. 10-11.
33. David Brewster, "Queries and Statements Concerning a Nail Found Imbedded in a Block of Sandstone Obtained from Kingoodie (Mylnfield) Quarry, North Britain," Annual Report of the British Association for the Advancement of Science, 1844, p. 51.
34. Baigent, Ancient Traces, p. 14.