Overblog
Editer l'article Suivre ce blog Administration + Créer mon blog
19 février 2010 5 19 /02 /février /2010 14:32

 

 

53.jpg
Aujourd'hui des civilisations plutôt arriérées coexistent encore avec des civilisations hautement civilisées. Toutefois, l'avancée technologique de certaines sociétés ne leur confère en rien des aptitudes mentales ou physiques supérieures.

Le concept erroné de l'évolution socioculturelle fut avancé à différents  moments par des idéologues tels que August Comte, Herbert Spencer et Lewis Henry Morgan et ensuite il fut combiné avec la théorie de Charles Darwin pour affirmer que toutes les sociétés sont progressivement passées d'un stade primitif à un statut de civilisation complexe. Cette erreur développée à la fin du 19ème siècle et dont l'influence accrut après la Première Guerre Mondiale, fournissait une justification prétendument scientifique au racisme, au colonialisme et à l'eugénisme. Les sociétés de différentes régions du globe, différentes en termes de cultures, de couleurs de peau, de traits physiques furent soumises à des traitements inhumains inspirés par ce préjugé non scientifique.

Des écrivains et des penseurs tels que Adam Ferguson, John Millar et Adam Smith suggérèrent que toutes les sociétés passent par quatre étapes d'évolution : la chasse et la cueillette, le pastoralisme et le nomadisme, l'agriculture et enfin le commerce. Selon les dires des évolutionnistes, les hommes primitifs qui venaient de se séparer des singes chassaient uniquement et ramassaient des plantes et des fruits avec des outils rudimentaires. A mesure que leurs compétences et leur intelligence augmentaient, ils commencèrent à élever du bétail. Toujours selon l'imagination des évolutionnistes, leur développement ensuite fut tel qu'ils furent capables de se lancer dans l'agriculture et enfin d'échanger leurs biens.

Or, les récentes découvertes et avancées en archéologie, anthropologie et d'autres branches de la science ont infirmé l'idée d'"évolution culturelle et sociale". Celle-ci n'est rien de plus qu'une tentative des matérialistes à représenter l'homme comme un être ayant évolué depuis un état de bête dénué d'entendement et à imposer à la science ce mythe - auquel ils croient pour des raisons philosophiques.

Le fait que les hommes chassaient ou cultivaient des champs ne démontre en rien qu'ils étaient plus avancés ou plus attardés mentalement. Une société ne s'adonne pas à la chasse car c'est arriéré et mentalement plus proche des singes. L'agriculture ne permet pas nécessairement à une société de se distancer d'un comportement primitif. Les activités d'un groupe n'impliquent pas que ses membres descendent d'autres êtres vivants.
De telles activités ne façonnent pas des individus plus intelligents et plus compétents à travers un prétendu processus évolutionniste. Des tribus d'aujourd'hui ne connaissant pas la technologie ne se préoccupent que de la chasse et de la cueillette, peut-on pour autant suggérer qu'ils sont inférieurs aux humains ? Le même schéma s'appliquera aux hommes qui vivront dans les millénaires à venir. Les hommes ayant vécu il y a des milliers d'années n'étaient pas primitifs, et les hommes du futur n'appartiendront pas à une espèce plus avancée.

41.jpg

Des hommes survivent de la chasse ou de l'agriculture sans qu'on puisse pour autant juger leurs aptitudes mentales plus ou moins avancées. Autrement dit, un peuple ne vit pas de la chasse en raison d'une ascendance proche et commune avec les singes, ni ne se lance dans l'agriculture en signe d'évolution par rapport aux singes.

40.jpg

 



Aucune de ces créatures primitives représentées ici n'a jamais existé. Elles sont le produit de l'imagination des scientifiques darwinistes et n'ont aucune valeur scientifique.

Construire une histoire évolutionniste de la civilisation en se basant sur les modes de vie des sociétés ne relève pas d'une démarche scientifique. Ce point de vue repose sur les interprétations diverses des données archéologiques nées des préjugés matérialistes des scientifiques. Leur conception de l'homme qui utilisait des silex est celle de créatures simiesques grognant, courbées et présentant un comportement animal. A ce jour, rien n'a été découvert qui puisse nous guider sur les capacités mentales de ces hommes. Tout n'est que conjecture. Si plusieurs œuvres d'art devaient être découvertes dans 100.000 ans et si les hommes du futur manquaient d'information, ils élaboreraient très probablement diverses interprétations à propos de l'humanité et de la technologie d'aujourd'hui.


Comme nous l'avons déjà vu, l'idée que les sociétés évoluent n'a aucune base scientifique. La théorie repose sur l'opinion erronée et non scientifique que l'homme était doté à l'origine d'un esprit semblable au singe. L'anthropologue évolutionniste de l'Université d'Harvard, William Howells admet que la théorie de l'évolution soulève d'autres questions, non liées au corps mais au comportement qui a trait à la philosophie, dont il est bien plus difficile de déterminer les faits scientifiques. Howells souligne que le comportement ne se fossilise pas dans le sens où il ne survit pas comme les silex ou les crânes. "Par conséquent, dit-il, nous disposons de très légers indices de ce qui a pu se produire dans le passé." Il remarque également que de telles hypothèses sont impossibles à tester.35

Récemment, une majorité de scientifiques sociaux ont admis les erreurs de la vision évolutionniste, affirmant que celle-ci s'opposait à la science sur les points suivants :

1. La théorie est étroitement liée à la discrimination ethnique, proposant des interprétations biaisées des différentes sociétés, par exemple, l'hypothèse selon laquelle les sociétés occidentales sont plus civilisées.

2. Elle suggère que toutes les sociétés progressent sur la même voie, utilisant les mêmes méthodes et partageant les mêmes objectifs.

3. Elle observe la société d'un point de vue matérialiste.

4. Elle est largement en désaccord avec les découvertes. De nombreuses communautés vivant dans des conditions primitives possèdent davantage de valeurs spirituelles civilisées (pacifisme, égalitarisme par exemple) que d'autres perçues comme étant modernes. En raison de leur alimentation, la plupart sont plus saines et fortes.


Ces quatre points montrent effectivement que la science ne peut accepter le concept d'évolution sociale. Celle-ci n'est qu'un tissu d'interprétations déformées sous l'influence de l'idéologie matérialiste. Les vestiges et les objets laissés par les civilisations passées dévoilent les erreurs de la supercherie de "l'évolution de l'histoire et de la culture".

Les traces du passé réfutent l'évolution

150.jpgLes découvertes provenant des civilisations passées remettent en question la théorie du "progrès du primitif vers le civilisé". L'examen de l'histoire fait clairement émerger que les hommes ont toujours été dotés de la même intelligence et créativité. Les traces et les travaux des hommes ayant vécu il y a des centaines de milliers d'années ont une toute autre explication que ce que veulent nous faire croire les évolutionnistes. Les hommes des temps anciens, avec leur intelligence et leurs compétences, ont fait des découvertes, ont pourvu à leurs besoins et ont bâti des civilisations.


Les messagers envoyés aidèrent les hommes vers le développement et le progrès en initiant des changements majeurs. Inspirés par Dieu, ils possédaient des connaissances scientifiques détaillées. Le Prophète Noé (psl) savait comment construire un bateau, et d'après le Coran son arche fonctionnait à la vapeur (Dieu est plus savant.) :

Puis, lorsque Notre commandement vint et que le four se mit à bouillonner d'eau, Nous dîmes : "Charge [dans l'arche] un couple de chaque espèce ainsi que ta famille - sauf ceux contre qui le décret est déjà prononcé - et ceux qui croient." Or, ceux qui avaient cru avec lui étaient peu nombreux. (Sourate Hud, 40)

Le four cité, appelé aussi tannur, est encore en usage aujourd'hui dans certaines régions du monde. Le verset dit que le four bouillonna d'eau. Donc l'arche était prête à se mouvoir par le bouillonnement du four ou en d'autres termes par la vapeur. Dans son commentaire, Hamdi Yazir d'Elmali dit que l'arche était "une sorte de bateau à vapeur propulsé par un four".

Tannur : décrit dans le dictionnaire comme un four fermé. Le mot fara signifie bouillonner et jaillir avec une grande force et intensité...Autrement dit, cela implique que le bateau n'était pas à voile, mais qu'il s'assimilerait plutôt à un bateau à vapeur propulsé par un four.36

D'importants progrès dans la science, les arts et la technologie furent accomplis sous le règne du Prophète Salomon (psl). Dieu indique dans le Coran, en l'occurrence, que des véhicules de transport aussi rapides que des avions étaient utilisés :

Et à Salomon Nous avons assujetti le vent, dont le parcours du matin équivaut à un mois (de marche) et le parcours du soir, un mois aussi. (Sourate Saba, 12)


Ce verset affirme que de longues distances pouvaient être parcourues très rapidement. Cela laisse à penser à des véhicules éoliens utilisant une technologie similaire à celle que nous employons de nos jours. (Dieu est plus savant.) Par ailleurs, Dieu rapporte dans le verset suivant:

Ils exécutaient pour lui ce qu'il voulait : sanctuaires, statues, plateaux comme des bassins et marmites bien ancrées. "O famille de David, oeuvrez par gratitude", alors qu'il y a peu de Mes serviteurs qui sont reconnaissants. (Sourate Saba, 13)

Le Prophète Salomon (psl) incita ses ouvriers à recourir à des techniques de construction très avancées.

Dans un autre verset :

...les diables, bâtisseurs et plongeurs de toutes sortes. (Sourate Sad, 36-37)


Le fait que le Prophète Salomon (psl) ait pu contrôler des démons plongeurs fait référence à la localisation et à l'extraction de ressources sous-marines. Les procédés d'extraction du pétrole et de métaux précieux requièrent une haute technologie. Ces versets soulignent en l'occurrence qu'une telle technologie existait et était employée.

Un autre verset décrit "la source de cuivre" (Sourate Saba, 12). L'usage de cuivre fondu sous-entend l'existence d'une technologie avancée utilisant l'électricité à l'époque du Prophète Salomon (psl). Le cuivre est un des meilleurs conducteurs du métal et de la chaleur, et donc la base de l'industrie électrique. "Nous avons fait couler la source de cuivre" laisse penser que des quantités importantes d'électricité étaient produites et
 utilisées dans divers domaines. (Dieu est plus savant.)54.jpg


Plusieurs versets révèlent que le Prophète David (psl) avait une bonne connaissance du travail de ferronnerie et de la fabrication d'armure.

... Et pour lui, Nous avons amolli le fer. "Fabrique des cottes de mailles complètes et mesure bien les mailles." Et faites le bien. Je suis clairvoyant sur ce que vous faites. (Sourate Saba, 10-11)

Dieu mentionne également que Dhu'l Qarnayn (psl) construisit entre deux montagnes une barrière infranchissable. D'après ce verset, il eut recours à des lingots de fer et de cuivre fondu :

"Apportez-moi des blocs de fer." Puis, lorsqu'il en eut comblé l'espace entre les deux montagnes, il dit : "Soufflez !" Puis, lorsqu'il l'eut rendu une fournaise, il dit : "Apportez-moi du cuivre fondu, que je le déverse dessus." (Sourate al-Kahf, 96)

Ce verset nous indique que Dhu'l-Qarnayn utilisa la technologie du béton renforcé. Le fer, l'un des plus solides matériaux employés dans la construction, est essentiel pour augmenter la solidité de bâtiments, de ponts et de barrages. Il apparaît d'après ce verset qu'il positionna du fer bout à bout sur lequel il déversa du mortier. (Dieu est plus savant.)


Des inscriptions de civilisations anciennes d'Amérique Centrale font référence à un grand homme barbu habillé de blanc. Elles rapportent également qu'en peu de temps, la foi en une seule divinité se répandit et qu'un soudain saut en avant dans les domaines de l'art et de la science eut lieu.

De nombreux Prophètes, comme Jacob, Joseph, Moïse et Aaron (pse) furent envoyés en Egypte antique. Ces messagers et ceux qui crurent en eux ont pu avoir une influence importante sur les rapides progrès artistiques et scientifiques en Egypte à diverses époques.

Des scientifiques musulmans, respectueux du Coran et de la sunnah de notre Prophète (pbsl) firent d'importantes découvertes en astronomie, mathématiques, géométrie, médecine et d'autres sciences. Ils contribuèrent ainsi à des changements majeurs et à des progrès significatifs de la science et de la vie sociale. Nous citons ici quelques-uns de ces scientifiques et leurs travaux :

Abdellatif Al Baghdadi est connu pour son travail sur l'anatomie. Il rectifia les erreurs concernant les os humains, comme l'os de la mâchoire inférieure et les os du torse. Son Al-Ifada wa al-I'tibar fut organisé en 1788 et traduit en latin, allemand et français. Il étudia les cinq organes sensoriels dans son Makalatun fial-Havas.

Ibn Sina (Avicenne) décrivit les traitements pour de nombreuses maladies. Son célèbre ouvrage, Kitab al-Qanun fi at-Tibb, fut rédigé en arabe et traduit en latin au 12ème siècle. Il fut enseigné et considéré comme un ouvrage de base dans les universités européennes jusqu'au 17ème siècle. Une grande partie de son contenu médical s'applique aujourd'hui encore.

Zakaria al-Qazvini abolit les idées erronées à propos du cerveau et du cœur qui étaient jugées correctes depuis Aristote. L'information qu'il fournit à propos de ces deux organes est très similaire à celle disponible aujourd'hui.

Zakaria al-Qazvini, Hamd Allah Mustawfi Qazvini (1281-1350) et Ibn al-Nafis étudièrent tous l'anatomie et érigèrent les fondements de la science médicale moderne.

Ali ibn Isa écrivit un livre en trois volumes sur les maladies de l'œil, Tadhkirat al-Kahhalin. Le premier tome est entièrement consacré à l'anatomie de l'œil et contient de précieuses informations. Il fut ensuite traduit en latin et en allemand.

Al-Bayruni démontra 600 ans avant Galilée que la Terre tourne. Il calcula son diamètre 700 ans avant Newton.

Ali Quchtchi compila les études importantes qu'il effectua concernant les phases de la Lune dans un livre qu'il publia. Ses travaux devinrent un guide pour les générations suivantes.


Thabit ibn Qurra découvrit le calcul différentiel des siècles avant Newton.


La précision des observations astronomiques d'Al-Battani étonna les scientifiques qui le succédèrent. Il observa 533 étoiles et fut capable de calculer correctement la plus longue distance entre le Soleil et la Terre. Ses travaux et calculs à propos de la trigonométrie firent de lui un pionnier en mathématiques.


Abu'l Wafa contribua à la trigonométrie avec les termes de sécante et cosécante.

Al-Khuwarizmi écrivit le premier livre sur l'algèbre.


Muhyi al-Din al-Maghribi révéla dans son livre les méthodes pour calculer l'aire des triangles, carrés, cercles et autres formes géométriques.


Ibn al-Haytham est le fondateur de l'optique. Bacon et Kepler utilisèrent ses travaux.

Galilée utilisa ses recherches dans sa découverte du télescope.


Al-Kindi mit en avant la relativité et la théorie de la relativité quelques 1.100 années avant Einstein.


Un siècle avant le physicien italien Fracastor, qui parla pour la première fois des microbes, Akshamsaddin expliqua l'existence des microbes.


Ali ibn Abbas al-Majusi fut un pionnier en médecine avec son livre as-Sina'a at-Tibbiya qu'il publia au 10ème siècle et qui devint une source pour le traitement de plusieurs maladies.


Ibn al-Jazzar décrivit les causes et le traitement de la lèpre.


Les scientifiques musulmans, dont la liste ci-dessus est loin d'être exhaustive, firent des découvertes majeures qui allaient devenir la base de la science moderne, en suivant le Coran et la voie de notre Prophète (pbsl).


De nombreux peuples firent des progrès en art, en médecine, en technologie et en science à travers les messagers qui leur furent envoyés. En obéissant aux prophètes et en apprenant à partir de leurs suggestions et de leurs encouragements, ils acquirent le savoir et le transmirent aux générations suivantes. Qui plus est, les sociétés qui s'étaient détournées de la vraie religion en la remplaçant par des superstitions revinrent à la foi en un Dieu Unique grâce aux efforts des messagers.


L'observation sans préjugé des découvertes à propos du passé révèle une histoire de l'humanité très claire et très distincte.


Comme nous l'avons déjà indiqué, des civilisations en avance et d'autres en retard ont coexisté tout au long de l'histoire et aujourd'hui encore. De nos jours, nous bénéficions de la technologie spatiale alors qu'en d'autres contrées, certains hommes vivent très sommairement ; tout comme l'Egypte antique avait une civilisation florissante alors qu'ailleurs les conditions de vie restaient primitives. Les Mayas qui bâtirent des cités très développées et qui, comme le montrent les traces qu'ils laissèrent, possédaient une technologie assez avancée, calculèrent l'orbite de la planète Vénus et découvrirent les lunes de la planète Jupiter. A la même époque, on croyait encore en Europe que la Terre était au centre du système solaire. Quand les Egyptiens pratiquaient avec succès des opérations du cerveau, ailleurs on pensait que les maladies étaient causées par les esprits malins. A travers leur système légal, leur littérature, leur sens artistique et leurs connaissances astronomiques, les Sumériens bâtirent une solide civilisation en Mésopotamie, alors qu'en d'autres régions du monde l'illettrisme dominait. De la même manière que les civilisations d'aujourd'hui ne sont pas toutes avancées, à un aucun moment dans le passé les sociétés étaient toutes arriérées.


Jusqu'ici nous avons examiné les preuves issues de différentes périodes de l'histoire et avons cité des exemples de plusieurs cultures du passé. En s'intéressant à une partie plus récente de l'histoire, nous trouvons également des preuves que les êtres humains ont toujours été humains. Il n'est pas ici question des individus "primitifs" qui se sont récemment séparés des singes, mais bien des êtres humains civilisés qui ont hérité d'autres civilisations ayant existé des milliers d'années auparavant.


Grâce aux progrès rapides du 20ème siècle, la recherche archéologique s'est énormément accélérée et a réussi à déterrer de plus en plus de preuves liées à la véritable histoire de l'humanité. C'est ainsi qu'il apparut que la vie en Egypte, en Amérique Centrale, en Mésopotamie et ailleurs il y a des milliers d'années était à de nombreux égards parallèle à la nôtre aujourd'hui.


Mégalithes : des objets étonnants de l'histoire humaine

56.jpg
La technique et la technologie employées pour la construction des pyramides restent encore un mystère. Ces monuments géants, dont la construction serait difficile à dupliquer même avec la technologie moderne, furent érigés par des hommes hautement compétents, il y a 2.500 ans.

Les mégalithes sont les monuments composés de grands blocs de pierre. De nombreux mégalithes ont survécu jusqu'à aujourd'hui. Ce que l'on se demande immanquablement à propos de ces monuments est comment des morceaux de roche aussi énormes et pesant parfois plus d'une tonne furent transportés et érigés en monuments tels qu'on les voit.

Comment les hommes de l'époque ont-ils réussi à placer ces blocs de pierre les uns sur les autres ? Il est encore plus étonnant de découvrir que ces pierres provenaient de carrières parfois très lointaines. C'est pourquoi les mégalithes sont considérés aujourd'hui comme de véritables miracles de construction et de génie. Leurs constructeurs disposaient sans aucun doute de technologie avancée pour obtenir un tel résultat.


La planification est la phase essentielle dans ce genre de projet. Les plans doivent donc être communiqués avec précision et en détail à tous les participants. Il faut également préparer les dessins techniques de l'endroit où le monument doit être érigé. Les calculs de ces schémas ne doivent comporter aucune erreur, car la moindre imprécision causera l'échec de la construction. Par ailleurs, l'organisation doit également être parfaite afin de réussir le projet. Il est vital pour la bonne construction de bien coordonner les différents facteurs (les ouvriers et leurs besoins).


Indéniablement, les individus qui construisirent ces monuments disposaient d'un savoir accumulé et d'une technologie au-delà de ce que l'on s'imagine. Nous avons mentionné plus tôt que les civilisations n'allaient pas toujours en avant, et qu'elles pouvaient parfois régresser. Et effectivement, la plupart du temps, des civilisations à la fois avancées et en retard coexistaient simultanément dans différentes régions du monde.


Il est très probable que les constructeurs des mégalithes appartenaient à une civilisation avancée comme le soutiennent également les données archéologiques et historiques. La structure des mégalithes montre qu'ils maîtrisaient les mathématiques et la géométrie. Ils savaient par conséquent calculer des points fixés dans les collines ; ils devaient disposer d'équipement (une boussole) pour déterminer les points géographiques ; ils étaient capables de transporter les matériaux nécessaires sur des kilomètres de distance. Bien évidemment, ils ne réussirent pas dans leur entreprise, aidés uniquement d'outils et de main d'œuvre primitifs. Des expériences menées par des chercheurs et des archéologues ont montré qu'il aurait été impossible de construire ces monuments sous les conditions proposées par les évolutionnistes. Les chercheurs qui tentèrent de reconstruire un mégalithe en reproduisant les conditions du prétendu "âge de pierre" ont échoué tristement. Non seulement ils estimèrent qu'il était difficile de construire une structure similaire, mais en plus ils eurent le plus grand mal à transporter les pierres d'un endroit à un autre. Cela prouve que les constructeurs de mégalithes ne menaient pas une vie primitive comme veulent nous le faire croire les évolutionnistes. Ils appréciaient et comprenaient l'architecture ; ils étaient experts de la construction et ils s'impliquaient dans des investigations astronomiques.

58.jpg
Histoires comme ça, livre de Ruyard Kipling

Il est parfaitement compréhensible que seuls les blocs de pierre, les structures rocheuses et les silex subsistent des civilisations datant de milliers d'années. Toutefois, il n'est pas logique de s'inspirer d'une poignée d'objets en pierre et de structures rocheuses pour conclure que les hommes de cette époque étaient sous-développés, dépourvus de toute technologie et capable d'utiliser uniquement la pierre. Ces affirmations, basées sur divers dogmes, n'ont aucun sens scientifique. En se débarrassant des effets négatifs des préjugés, on aboutit alors à des interprétations plus proches de la vérité. Même si des hommes ayant vécu il y a des dizaines de milliers d'années habitaient d'impressionnantes maisons de bois, bâtissaient de belles villas avec des vitres et utilisaient de beaux matériaux de décoration, il n'en subsisterait aujourd'hui pas grand chose étant donné les effets érosifs du vent, de la pluie, des tremblements de terre et des inondations. Sous des conditions naturelles, il ne faut que cent à deux cents ans au bois, au verre, au cuivre et au bronze pour s'éroder.

Donc en l'espace de deux siècles les murs de votre maison seront usés ainsi que le mobilier à l'intérieur. Il en restera encore moins, si elle a été soumise à des tremblements de terre, des inondations et des tempêtes. Ne subsisteront que des blocs de pierre, plus longs à s'user. Et là encore, ces blocs finiront par se fragmenter en petits morceaux. Par conséquent, comment est-il possible de déduire le mode de vie des sociétés anciennes à partir de fragments de pierre ? Leurs relations sociales, leurs croyances, leurs goûts et leurs sens artistique ne peuvent être affirmés avec certitude.


Cependant les évolutionnistes tentent encore l'impossible, ornant leurs diverses découvertes d'interprétations fictives et inventant divers scénarios. L'invention de fables et la déformation des faits sont l'objet de critiques de la part des évolutionnistes eux-mêmes ! Ils ont donné à cette approche le nom de "Just so stories" (Histoires comme ça).


Cette appellation apparut après une critique du célèbre paléontologue évolutionniste Stephen Jay Gould qui emprunta le terme au livre du même titre datant de 1902 de l'écrivain et poète anglais Rudyard Kipling (1865-1936). Dans ce livre de contes à l'intention des enfants, une série d'histoires imaginaires racontent comment les êtres vivants ont pu acquérir leurs différents organes et attributs. A propos de la trompe de l'éléphant, il écrivit :


Imagine-toi qu'au temps jadis, l'éléphant, ô mieux aimée, n'avait pas de trompe. Il n'avait qu'un nez noiraud, courtaud, gros comme une botte, qu'il pouvait tortiller de droite et de gauche, mais pas ramasser des choses avec.


Or il y avait un éléphant - un éléphant tout neuf - un enfant d'éléphant - plein d'une insatiable curiosité...Il alla donc...jusqu'à ce qu'il piétinât ce qu'il pensait être un rondin de bois au bord d'un très vert et très gras fleuve Limpopo, bordé d'arbres à fièvre...

Mais c'était bel et bien le crocodile...Ensuite l'enfant de l'éléphant approcha sa tête tout près de la gueule dentue et musquée du crocodile, et le crocodile le happa par son petit nez...Alors l'enfant de l'éléphant s'assit sur ses petites hanches et tira, tira, tira encore, tant et si bien que son nez commença de s'allonger. Et le crocodile s'aplatit dans l'eau qu'à grands coups de queue il fouettait comme de la crème, et lui aussi tira, tira...37


Gould et d'autres scientifiques évolutionnistes critiquèrent la littérature de proposer de tels scénarios, sans la moindre preuve. Il en va de même pour ceux qui tentent d'expliquer le développement des sociétés en termes de théorie de l'évolution. Comme les contes de Kipling, les Histoires comme ça des scientifiques sociaux évolutionnistes sont uniquement le fruit de l'imagination. Leur conte est celui d'une humanité dont les prétendus ancêtres étaient seulement capables de grogner et d'utiliser des outils de pierre grossiers, vivaient dans des cavernes, chassaient et cueillaient, et qui, par un développement progressif, commencèrent à cultiver les champs, puis à utiliser des métaux, à établir des relations sociales grâce à l'augmentation de leurs capacités mentales. Cette "histoire" ne diffère pas de l'histoire de l'éléphant avec sa trompe.


Gould décrit cette approche non scientifique :


Les scientifiques savent que ces contes sont des histoires ; malheureusement, ils sont présentés dans la littérature professionnelle où on les prend trop sérieusement et littéralement. Ils sont alors devenus des faits et s'immiscèrent dans la littérature populaire.38


Par ailleurs, Gould affirme que ces contes ne prouvent rien en ce qui concerne la théorie de l'évolution :


Ces contes, dans la tradition des "histoires comme ça" de l'histoire naturelle évolutionniste, ne prouvent rien. Mais leur poids, et celui de nombreux cas similaires, usèrent ma foi dans le gradualisme il y a longtemps. Des esprits stimulants peuvent toutefois encore le sauver, mais les concepts récupérés par une spéculation facile ne m'intéressent pas vraiment.39


Newgrange

60.jpg
La pierre d'entrée et la petite cavité surplombant l'entrée de Newgrange. On ne sait toujours pas comment ces blocs furent transportés ni quelles techniques furent employées durant la construction.

Cette tombe monumentale près de Dublin fut, de l'avis général, construite autour de 3.200 av. JC. Newgrange existait bien avant la civilisation de l'Egypte antique, les civilisations babylonienne et crétoise. Stonehenge, l'une des plus célèbres structures en pierre au monde, n'était pas encore construite. La recherche montre que Newgrange n'était pas seulement une tombe. On sait désormais que ses constructeurs avaient des notions développées en astronomie, génie civil et architecture.


De nombreux archéologues qualifient Newgrange de miracle technique. Le dôme seul est une merveille de génie. Les pierres, plus lourdes en bas et plus légères en haut, furent placées les unes au-dessus des autres de manière si experte que chacune dépasse légèrement celle qui est en dessous. De là, une cheminée hexagonale de six mètres de haut s'élève au-dessus du centre de la structure. Au-dessus de la cheminée se trouve un couvercle en pierre qui peut être ouvert ou refermé à souhait.


Cette structure immense fut construite évidemment par des hommes comprenant parfaitement le génie, capables de calculs précis, de planification correcte, de transporter de grandes quantités de pierres. Ils savaient en somme faire bon usage de leur savoir-faire dans la construction. Les évolutionnistes ne peuvent apporter aucune lumière quant à la manière dont cette tombe fut érigée, car selon leur point de vue irréaliste, les hommes de cette époque travaillaient dans des conditions primitives et arriérées. Mais il est impossible qu'un tel monument ait pu être érigé par des êtres dénués de savoir en matière de génie et de construction.

59.jpg
Newgrange, l'un des mégalithes les plus célèbres au monde, se compose de 93 monolithes.


Les caractéristiques astronomiques de Newgrange sont étonnantes. Ce monument géant fut construit de sorte que chaque année, le jour du solstice d'hiver (le jour le plus court de l'année, le 21 décembre)40 , un spectacle lumineux impressionnant se produit. Peu après le lever du soleil, à 09h17 du matin, un trait lumineux illumine la chambre funéraire pendant à peu près 15 minutes. Un jeu de lumière parfait se dessine. Les rayons du soleil levant passent à travers une ouverture étroite au bas du toit au-dessus de l'entrée et brillent tout le long du passage et jusqu'à la chambre intérieure. Tous les blocs de pierres sont placés à des angles qui permettent à la lumière de les toucher et de s'y réfléchir, ce qui permet tout le jeu de lumière.


Nous comprenons ainsi que les constructeurs de cette structure immense étaient doués en ingénierie et en astronomie (étant donné qu'ils étaient capables de calculer la longueur des jours et les mouvements du Soleil).


Newgrange est un exemple de nombreuses structures de pierre remontant aux périodes anciennes dans la région. L'observation de ce monument nous permet de conclure que c'est l'œuvre d'hommes très avancés sur le plan du savoir, des techniques et des méthodes.

Quelle interprétation peut-on faire à propos du mode de vie de ces hommes ? Il se peut qu'ils vivaient de manière très confortable dans un environnement civilisé. S'ils disposaient bien de connaissances en astronomie et un minimum d'expertise, leurs vies quotidiennes devaient être tout autant civilisées, en proportion directe avec l'accumulation de connaissances. Ce monument est peut-être le seul bâtiment subsistant d'une société d'hommes vivant dans des maisons confortables, avec des jardins bien tenus, recevant des traitements dans de bons hôpitaux, s'impliquant dans des relations commerciales, estimant l'art et la littérature et disposant d'un vaste héritage culturel. Ces interprétations sur les bâtisseurs de monument sont des plus réalistes et se basent sur les données archéologiques et les faits historiques. Pourtant, les évolutionnistes accoutumés à une pensée orientée vers le matérialisme, préfèrent relater des histoires résultant de dogmes spécifiques plutôt que des interprétations rationnelles compatibles avec la science. Cependant leurs histoires ne constituent jamais une explication vraie et définitive.

Stonehenge


Stonehenge est un monument situé en Angleterre composé de quelques trente gros blocs de pierre arrangés en cercle. Chacun de ces blocs mesure en moyenne 4,5 mètres de haut et pèse environ 25 tonnes. Le monument attire l'attention de nombreux chercheurs qui avancent autant de théories sur l'origine et le mode de construction de ce monument. Ce qui importe ici n'est pas de savoir laquelle de ces théories voit juste, mais que le monument infirme une fois de plus la théorie de l'évolution dans l'histoire de l'humanité.

42.jpg
Stonehenge a pu constituer la base d'un édifice en bois. Il est très probable alors que seules les fondations aient survécu. Les méthodes et les motifs de la construction de Stonehenge font encore l'objet de débats, mais tous les scientifiques s'accordent à rattacher l'édifice à l'astronomie. Ceux qui construisirent ce monument étaient très avancés dans leur connaissance des cieux et de l'ingénierie.


La recherche révèle que Stonehenge fut construit en trois étapes principales, aux alentours de 2.800 ans av. JC. L'histoire de cette construction remonte, par conséquent, à plus de 5.000 ans. L'étape initiale de la construction consistait à creuser un fossé, un talus et quelques fosses rondes dans la craie. Ensuite, environ 80 pierres bleues furent posées pour former deux anneaux autour du centre du site et une pierre talon fut érigée en dehors de cela. Plus tard, un cercle externe de monolithes de grès fut formé et relié par des linteaux.


L'un des aspects notables de ce monument est l'usage de pierres bleues, car il n'y a aucune source de telles roches dans les environs. Ces pierres furent importées des monts Preseli, au sud-ouest du Pays de Galles, à environ 380 kilomètres de distance. Si, comme le défendent les historiens évolutionnistes, les hommes de l'époque vivaient dans des conditions primitives, ne disposant que d'outils grossiers tels que des manivelles et radeaux en bois et des haches de pierre, alors comment ont-ils pu ramener ces pierres d'une région aussi éloignée ? Les scénarios conjecturaux n'apportent pas d'éléments de réponse.


Un groupe de chercheurs tenta de transporter des pierres bleues aussi loin que Stonehenge en reconstruisant l'équipement supposé être en usage à l'époque. Ils eurent alors recours à des manivelles en bois, construisirent un radeau capable de transporter des pierres d'une taille équivalente en attachant trois radeaux ensemble, poussèrent le radeau vers la rivière au moyen de rondins de bois, et tentèrent de déplacer les pierres vers le haut de la colline en utilisant des sortes de roues. Leurs efforts furent vains. Ce n'est là qu'une des expériences effectuées afin d'établir comme les pierres bleues ont pu être transportées jusqu'à Stonehenge. D'autres tentatives eurent lieu pour essayer de comprendre la méthode de transport utilisée à l'époque. Tous les essais furent des échecs, car ils furent tous entrepris dans l'idée que les constructeurs de Stonehenge avaient une culture arriérée et qu'ils ne disposaient que des outils rudimentaires faits de pierre et de bois.


Les vestiges étonnants de la cité de Tiahuanaco


A environ 4.000 mètres au-dessus du niveau de la mer, dans la chaîne des Andes, entre la Bolivie et le Pérou, les visiteurs sont stupéfiés par les ruines dans la ville de Tiahuanaco. La région est considérée comme l'une des merveilles archéologiques d'Amérique du Sud, voire du monde entier.


L'un des vestiges les plus étonnants à Tiahuanaco est un calendrier montrant les équinoxes, les saisons et la position de la Lune à chaque heure ainsi que ces mouvements. Ce calendrier est une des preuves que les hommes qui ont vécu là-bas étaient très avancés. Des monuments d'immenses blocs de pierres, pesant jusqu'à 100 tonnes jalonnent la ville de Tiahuanaco.

132.jpg

DES MAÇONS EXPERTS A GOBEKLI TEPE IL Y A 11.000 ANS


Le travail de la pierre dans ses formes détaillées sur les photos en bas à gauche met en valeur le goût artistique des hommes qui l'exécutèrent il y a 11.000 ans. Ces artistes n'ont pu obtenir un tel résultat en frappant ou en frottant les pierres. Pour pouvoir graver ces pierres, ils ont dû, en effet, utiliser des outils en métal, comme les lames, les limes et les scies utilisées en maçonnerie aujourd'hui. La photo en haut à droite représente un maçon au travail, utilisant des techniques similaires. Il y a 11.000 ans, les artistes n'ont pu accomplir leurs travaux sans l'emploi de méthodes similaires.


Il semble nécessaire de souligner que les expériences en question bénéficièrent des technologies présentes. Ils utilisèrent divers modèles fabriqués dans des chantiers navals, des cordes issues d'entreprises à la pointe de la technologie, élaborèrent des plans détaillés et firent de savants calculs. En dépit de cela, ils n'eurent aucun résultat positif.

En revanche, les hommes ayant vécu il y a 5.000 ans réussirent à transporter ces roches, pesant chacune plusieurs tonnes et à les disposer en cercle en calculant leurs positions géographiques exactes. Indéniablement, ils ne purent aboutir au résultat connu aujourd'hui avec des outils de pierres, des radeaux et des manivelles en bois. Stonehenge et les autres monuments mégalithiques furent érigés grâce à une technologie que nous sommes aujourd'hui incapables de deviner.

133.jpg

DES BLOCS GEANTS PESANT 20.000 TONNES


 
L'ancienne cité Inca de Sacsahuaman près de Cuzco au Pérou possède un mur de pierres pesant des tonnes où chacune d'entre elles est si précisément agencée qu'il est impossible de glisser une feuille de papier entre deux pierres. Le positionnement des blocs de pierre a été effectué avec les plus grandes expertises et précision. On ne sait toujours pas comment ces énormes blocs furent taillés avec une précision telle qu'ils s'agencent parfaitement entre eux.


Un des blocs de pierre de l'édifice dépasse les autres par ses dimensions. Il a la taille d'une maison de cinq étages et ne pèse pas moins de 20.000 tonnes ! Comment les bâtisseurs de Sacsahuaman ont-ils réussi à le transporter ? Cela reste du domaine du mystère. Même la machinerie moderne est incapable de soulever un poids si énorme. Même le plus grand treuil aurait du mal à soulever une telle masse. Les Incas de l'époque ont très vraisemblablement eu recours à une technologie que nous ne pouvons pas imaginer.

LES PIERRES GEANTES UTILISEES DANS LES
CONSTRUCTIONS REQUIERENT UNE EXPERTISE ENORME

134.jpg

 

 

Les monuments composés des pierres pesant des dizaines de milliers de tonnes continuent à fasciner le public. Le déplacement de ces blocs immenses n'est possible qu'avec un équipement avancé, notamment des câbles en acier ou des treuils. Il est impossible d'extraire de telles pierres de carrières, encore moins de les transporter, de les mettre en place ou de les tailler au moyen d'un outillage incluant du bois, des rondins, des cordes ou des outils fragiles en cuivre, comme le prétendent les évolutionnistes. La petite image au milieu montre comment la tête de la statue massive de Ramsès a pu être transportée uniquement au moyen de treuils avec des câbles en acier..

Baalbek, Temple of Jupiter

Des blocs de pierre géants furent utilisés dans la construction de cet édifice, aujourd'hui baptisé Temple de Jupiter. Le bloc marqué de rouge sur la petite photographie est l'un des trois monolithes d'appui, mesurant chacun 3,5 mètres de haut, 3,5 mètres de large et 19 mètres de long et pesant en moyenne 800 tonnes. Le fait que de si gros blocs de pierre purent être extraits et transportés depuis les carrières suggère qu'un matériel avancé a dû être employé.

135.jpg

LES OBELISQUES QUE LES EVOLUTIONNISTES     NE PEUVENT PAS EXPLIQUER

 
Les obélisques font partie de l'héritage étonnant laissé par les civilisations passées. Il fallut sans aucun doute une technologie de pointe pour extraire ces roches tout en longueur, mesurant en moyenne 20 mètres de haut et pesant plusieurs tonnes, pour les transporter, pour sculpter leur surface et pour les ériger en position droite. L'un des plus anciens obélisques connus est celui de Karnak, en Egypte, datant de 1400 ans av. JC. Elle mesure 29,5 mètres de haut, 1,62 mètre de large et pèse 325 tonnes. Une expertise technique et une infrastructure adaptée furent nécessaires au transport d'un tel monolithe depuis la carrière de son extraction jusqu'à l'endroit où il gît aujourd'hui. Des outils en bronze et en cuivre se courbant facilement n'ont pu être utilisés, par conséquent ce sont des outils en fer et en acier qui furent nécessaires. Cela remet sérieusement en question la théorie des évolutionnistes selon laquelle le fer et des métaux similaires étaient inconnus alors.

136.jpg
Cette section dont on suppose qu'elle devait se situer en haut de l'obélisque (dans le cercle rouge) laisse à penser que ces grands monolithes servaient de paratonnerres.

Un obélisque non terminé dans une carrière de granite près d'Assouan. Cet obélisque, deux fois plus haut que les autres, mesure 41,75 mètres de long et pèse quelques 1.168 tonnes. Un matériel et une technologie avancés ont dû être utilisés pour extraire cette pierre géante de la carrière et la transporter vers sa destination.

 

Un auteur de Reader's Digest écrivit :


...les meilleurs ingénieurs d'aujourd'hui se demandent encore comment ils ont pu tailler et déplacer ces immenses masses de roches telles que celles utilisées dans la construction de la ville. On dirait presque que les blocs géants ont été taillés à la scie...41


Les murs de la ville furent construits en plaçant des blocs pesant 60 tonnes au-dessus d'autres blocs de grès pesant quelques cent tonnes. Le travail de la pierre pour ces murs requit une expertise certaine. D'immenses blocs carrés furent assemblés avec précision.

Des trous de 2,5 mètres de long ont été percés dans des blocs de 10 tonnes. A certains endroits des ruines, il y a des conduits d'eau de 1,8 mètre de long et d'un demi mètre de large. Leur régularité est rarement égalée aujourd'hui encore. Il est impossible que les bâtisseurs de ces murs n'aient pas disposé de moyens techniques conséquents, contrairement à ce qu'affirment les évolutionnistes. Dans des conditions primitives, il aurait fallu davantage que la durée de vie humaine pour construire l'une de ces structures. Par conséquent, il aurait fallu des siècles pour ériger la ville de Tiahuanaco, ce qui suffit à montrer que la théorie évolutionniste est fausse.


DECOUVERTES A PUMU PUNKU INFIRMANT LA THEORIE DE L'EVOLUTION

137.jpgLa taille des mégalithes composant les ruines de la pyramide de Puma Punku fascine les visiteurs. Un bloc dans la pyramide à degrés dont la base mesure 60 mètres sur 50 mètres, pèse environ 447 tonnes. Les autres pierres pèsent entre 100 et 200 tonnes. La théorie des évolutionnistes qui avance que ces mégalithes furent transportés au moyen de rondins de bois et d'épaisses cordes ne tient pas la route.


Les archéologues évolutionnistes ne peuvent pas expliquer non plus les marques sur les points où se joignent plusieurs mégalithes à Puma Punku. Elles ressemblent, en fait, à des traces laissées par des presses en métal Longtemps, on a cru que ces presses en forme de T avaient été cuites dans un four, puis refroidies pour être placées dans les indentations des pierres.

Des investigations ultérieures menées à l'aide d'un microscope électronique révélèrent toutefois qu'elles furent versées en fusion dans les indentations. Une analyse spectrographique détermina que ces presses étaient composées d'un alliage de 2,05% d'arsenic, 95,15% de cuivre, 0,26% de fer, 0,84% de silicone et 1,70% de nickel. Il s'agit clairement d'une preuve que ces civilisations disparues disposaient d'un matériel sophistiqué pendant la construction de cet édifice.

42


L'un des monuments les plus notables de Tiahuanaco est la Porte du Soleil, considérée par certaines recherches comme un repère astronomique du fait de son alignement avec le Soleil, et par d'autres comme un observatoire. Faite d'un seul bloc, elle mesure trois mètres de haut sur cinq mètres de large pour un poids estimé de dix tonnes. Le monolithe est orné de plusieurs gravures. Aucune explication ne peut être fournie sur les méthodes utilisées pour construire cette impressionnante structure. Comment des blocs pesant dix tonnes ont-ils pu être extraits et par quels moyens ont-ils été transportés depuis les carrières ? Il fallut sans aucun doute plus que de simples outils pour aboutir à une telle construction.

138.jpg
Empreinte d'une presse en métal fréquente à Puma Punku
Empreinte d'une presse en métal sur les blocs d'Ollantaytambo
Empreinte d'une presse en métal sur l'édifice de pierres à Angkor Vat, au Cambodge


Etant données les conditions géographiques de la région où se situe Tiahuanaco, l'exploit prend des dimensions étonnantes. La ville se situe à plusieurs kilomètres des zones d'implantations normales et domine sur un haut plateau de 4.000 mètres de haut, où la pression atmosphérique est réduite de moitié par rapport au niveau de la mer. Le niveau d'oxygène réduit a dû rendre les tâches plus difficiles pour la main d'œuvre.


Cela contribue à montrer que, comme dans de nombreuses régions du monde, des civilisations avancées existaient déjà à cet endroit par le passé et donc à infirmer la thèse selon laquelle les sociétés évoluent toujours  vers un stade plus avancé.


                              Harun Yahia
                   (extrait du livre de l'auteur "un mensonge de l'histoire "l'âge de pierre")


UN MENSONGE DE L’HISTOIRE: L’AGE DE PIERRE - Mégalithes : des objets étonnants de l’histoire humaine  



NOTES:

35. William Howells, Getting Here: The Story of Human Evolution, Washington, D.C.: Compass Press, 1993, p. 229.
36. www.kuranikerim.com/telmalili/hud.htm
37. Rudyard Kipling, Histoires comme ça, L'enfant Eléphant, http://vialupo.jcldb.com/kipling/chapitre1.html
38. Stephen Jay Gould, "Introduction," in Björn Kurtén, Dance of the Tiger: A Novel of the Ice Age, New York: Random House, 1980, pp. xvii-xviii.
39. Stephen Jay Gould, "The Return of Hopeful Monsters," in The Panda's Thumb: More Reflections in Natural History, [1980], Londres: Penguin, 1990, reprint, p. 158.
40. Les dates des solstices d'hiver et d'été sont inversées pour les hémisphères Nord et Sud
41. Simone Waisbard, The World's Last Mysteries (2ème édition), Reader's Digest, 1978, p. 138.

42. Graham Hancock, Santha Faiia, Heaven's Mirror: Quest for the Lost Civilization, New York: Three Rivers Press, 1998, p. 304.

Partager cet article
Repost0

commentaires

translation

Google-Translate-English to French Traduire français en Arabic Google-Translate-Chinese (Simplified) BETA Traduire français en Arabic Traduire français en Arabic Traduire français en Croatian Traduire français en Czech Traduire français en danish Traduire français en Dutch Traduire français en Finnish Traduire français en German Traduire français en Greek Traduire français en Hindi  Traduire français en Italian Google-Translate-English to Japanese BETA Traduire français en Korean BETA Traduire français en Norwegian Traduire français en Polish Traduire français en Portuguese Traduire français en Romanian Traduire français en Russian Traduire français en Russian BETA Traduire français en Spanish Traduire français en Swedish

Rechercher

Archives