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18 mai 2010 2 18 /05 /mai /2010 17:58

Les créatures mi-hommes, mi-singes n'ont jamais existé. Des preuves scientifiques montrent que les êtres humains ont toujours existé sous la forme d'êtres humains. Les évolutionnistes dissimulent, néanmoins, soigneusement ce fait en ayant recours à toutes sortes de mensonges pour prouver le contraire.

 

 

Mark Czarnecki, un autre paléontologue évolutionniste, fait quant à lui le commentaire suivant :

  • Le problème majeur, quand il s'agit de prouver la théorie, concerne les archives fossiles ; les empreintes des espèces disparues préservées dans les formations géologiques terrestres. Ces données n'ont jamais révélé les traces des variantes intermédiaires hypothétiques de Darwin. Au lieu de cela, les espèces apparaissent et disparaissent brutalement, et cette anomalie nourrit l'argument créationniste selon lequel les espèces furent créées par Dieu.9 

 

Si les thèses darwinistes étaient justes, alors parmi les fossiles il devrait exister un nombre considérable de formes de vie étranges avec plusieurs orbites oculaires, des nez situés en divers endroits, une mâchoire à l'arrière ainsi qu'à l'avant, ou des crânes anormalement développés, comme ce qui est représenté ici. Or, en 150 années de fouilles, aucun fossile de ce genre n'a été mis au jour. Au contraire, toutes les fossiles déterrés à ce jour indiquent que les êtres vivants ont toujours existé sous leur forme parfaite et complète depuis leur première apparition et qu'ils n'ont jamais changé au cours de leur existence. 

Dans son livre The Neck of the Giraffe: Where Darwin went Wrong (Le cou de la girafe : là où Darwin s'est trompé), le célèbre biologiste Francis Hitching écrit :

  • Si nous trouvons des fossiles et si la théorie de Darwin était juste, nous pouvons prédire ce que devrait contenir la roche : des fossiles finement gradués menant d'un groupe de créatures à un autre groupe d'un niveau de complexité supérieur. "Les améliorations mineures" chez les générations suivantes devraient être toutes aussi bien préservées que l'espèce même. Mais ce n'est pratiquement jamais le cas. En fait, c'est plutôt le contraire, comme s'en plaignait Darwin lui-même. "D'innombrables formes transitoires ont dû exister, pourquoi alors ne les trouvons nous pas incrustées en grand nombre dans la croûte terrestre ?" Darwin pensait cependant que l'"extrême imperfection" des archives fossiles était liée au nombre insuffisant de fossiles disponibles. Mais à mesure que les fossiles furent déterrés, on découvrit que la plupart, sans exception, étaient très proches des animaux vivants aujourd'hui.10  

 

 

Si les structures et apparences présentes des êtres vivants étaient le résultat de centaines de milliers de changements minimes, alors d'innombrables spécimens fossiles auraient dû documenter ce développement illusoire. Des entités anormales présentant deux cerveaux, trois colonnes vertébrales, quatre yeux, deux mâchoires, trois nez, sept doigts et trois jambes auraient dû se démarquer. Pourtant tous les fossiles découverts à ce jour montrent que les êtres humains ont toujours été des êtres humains comme vous et nous.

L'évolutionniste Dr. David Raup, conservateur du Musée Field d'histoire naturelle à Chicago dit :  

  • La théorie de la sélection naturelle de Darwin a toujours été étroitement liée aux preuves provenant de fossiles et la plupart des gens supposent probablement que les fossiles constituent une part très importante de l'argument général en faveur des interprétations darwinistes de l'histoire de la vie.  Malheureusement, cela n'est pas strictement vrai.4  

Les visiteurs d'un quelconque musée d'histoire naturelle se retrouvent face à une intense propagande évolutionniste. Y sont exposés des reconstitutions imaginaires et de faux os fabriqués à la main, supposés appartenir à nos prétendus ancêtres. Le moindre fragment fossilisé d'un être ayant vécu jadis, qui ne représente en soi nullement une preuve de l'évolution, est toutefois présenté comme une preuve hautement importante de forme intermédiaire de la transition imaginaire du poisson en amphibien. Une côte qui confirmerait davantage le fait de la création est exhibée avec une immense fierté comme preuve de l'évolution. Se basant sur les descriptions détaillées des prétendus fossiles et les noms latins qui leur sont attribués, ceux qui examinent ces pièces sont convaincus d'avoir affaire à un fait évolutionniste. Or le véritable objectif du musée est de donner l'impression que quelque chose existe alors qu'elle n'a jamais existé et de faire la propagande à propos de quelque chose d'inexistant.

 

Les évolutionnistes s'imaginent atteindre leurs buts à travers ces méthodes, parce que les visiteurs de musée n'ont pas conscience du fait qu'il n'existe pas un seul fossile de forme intermédiaire pour soutenir la théorie de l'évolution. Ils ne savent pas non plus que les fossiles vivants restés identiques pendant des millions d'années, contrairement aux affirmations de la théorie de l'évolution, sont dissimulés dans les entrepôts, situés souvent ironiquement en dessous des salles d'expositions.

 

En fait, les efforts déployés par les évolutionnistes s'avèrent être creux. Aucun fossile de forme intermédiaire étayant le concept d'évolution n'a jamais été découvert. Il n'existe, en effet, pas la moindre trace de ces étranges créatures imaginaires semi développées qui auraient dû exister au cours de millions d'années. Le processus d'évolution n'est rien de plus qu'une croyance – un souhait que les évolutionnistes voudraient voir se vérifier. Pourtant les archives fossiles n'ont jamais permis à ce rêve de devenir vrai.

 

D'innombrables fossiles ont été exhumés dans le monde entier sans que les fossiles de formes intermédiaires manquantes ne soient découverts à leur tour. Il est impossible qu'on en trouve la moindre trace car l'évolution n'a jamais eu lieu. En inventant des théories fictives, en fabriquant des formes intermédiaires imaginaires en plâtre et en bakélite, et en élaborant des reconstitutions basées sur les influences de l'artiste pour illustrer les vies supposées de ces formes intermédiaires, les darwinistes cherchent à insuffler la vie à une prétendue évolution.Chaque fossile mis au jour par les darwinistes sont présentés de sorte à défendre leurs théories. En s'appuyant sur le manque de connaissance des questions scientifiques du public, ils s'estiment libres de manipuler les faits. Ainsi une de leurs méthodes fréquemment utilisées est la représentation graphique des formes de vie éteintes afin d'en faire une preuve de leur scénario évolutionniste. Les fossiles exposés dans de nombreux musées sont accompagnés de commentaires évolutionnistes dépourvus de la moindre valeur scientifique.

 

Every fossil that Darwinists unearth, they seek to portray as supporting their theories. By making use of the public's lack of knowledge of scientific matters, they feel free to distort the facts. One method they resort to most frequently is to portray extinct life forms as evidence for their evolutionary scenario. The fossils exhibited in a great many museums are accompanied by evolutionist comments—which comments in fact have no scientific value.

Le fait est, toutefois, que leurs efforts ne porteront jamais leurs fruits. Les conditions sont aujourd'hui différentes de celles de l'époque de Darwin. Les faits scientifiques sont dévoilés et de nouvelles découvertes révèlent constamment les preuves du fait de la création. Aucun darwiniste ne peut plus soutenir que les archives fossiles sont insuffisantes. La science et les fossiles fournissent une pléthore de preuves incontestables.

 

L'absence de tout fossile intermédiaire est trop évidente pour être couverte plus longtemps par les évolutionnistes.

Dans la revue Science, D. S. Woodroff de l'Université de Californie mentionne la sérieuse déception des évolutionnistes : 

  • Mais les espèces fossiles restent inchangées durant pratiquement toute leur histoire et les archives ne fournissent pas le moindre exemple d'une transition significative.5 

Dans les strates où ils mènent leur chasse aux fossiles de formes intermédiaires, les darwinistes trouvent constamment des fossiles d'êtres vivants n'ayant pas subi le moindre changement au cours de millions d'années et donc n'ayant pas été soumis à un processus d'évolution. Les preuves du fait de la création abondent par millions chaque jour, alors que les fossiles de formes intermédiaires tant attendus ne sont nulle part. Les évolutionnistes ont dû alors se contenter de représenter ce qui en fait constituait une preuve de la création sous les traits de fossiles de formes intermédiaires. Au moyen de différentes techniques de propagande, ils tentèrent de dépeindre des formes de vie hautement développées et complexes remontant à des millions d'années comme preuve de leur propre théorie. En soumettant leurs interprétations biaisées des fossiles, ils tentèrent ainsi de faire passer le système complexe et développé d'ailes d'oiseaux pour des ailes "en développement" et les nageoires des poissons pour les futures pattes d'une créature se préparant à émerger sur la terre ferme. Ainsi, ils cherchèrent à présenter le cœlacanthe comme un exemple de transition entre l'eau et la terre et l'archéoptéryx comme un reptile évoluant du sol vers les airs.

 


Le cœlacanthe existe depuis 400 millions d'années sans avoir changé.

En réalité, même ces restes fossilisés démontrent que ces créatures étaient dotées de caractéristiques excessivement complexes et non intermédiaires. Lorsqu'un cœlacanthe, l'un des êtres vivants objet des spéculations évolutionnistes, fut péché dans des eaux profondes en 1938, près de 400 millions d'années après les spécimens fossilisés, tous les rêves évolutionnistes volèrent en éclat. 

Les évolutionnistes connurent un revers similaire avec l'archéoptéryx, que la science considère désormais comme un oiseau à part entière. Les évolutionnistes perdirent tous leurs arguments, quand l'archéoptéryx, dépeint pendant des années comme une preuve cruciale de la transition imaginaire de la terre à l'air, s'avéra posséder des muscles de vol parfaits, des plumes idéalement adéquates au vol et une parfaite structure des ailes.


L'ARCHAEOPTERYX est un oiseau totalement couvert de plumes.

D'autres incidents remirent en question ouvertement le concept de formes intermédiaires, comme celui de l'homme de Piltdown et l'homme du Nebraska, sensés être également des preuves de l'évolution. 

Désespérés par l'absence totale de formes intermédiaires, les évolutionnistes allèrent jusqu'à fixer une mâchoire d'orang-outan au crâne d'un homme récemment décédé. Ils le nommèrent l'homme de Piltdown et exhibèrent leur fabrication pendant près de quarante ans. Ce fossile fabriqué, exposé au British Museum, fut rapidement retiré des vitrines lorsque la supercherie fut mise à jour.

L'homme du Nebraska fut le sujet de nombreuses illustrations et reconstitutions imaginaires – toutes basées sur une simple dent ! S'inspirant de cette dent, les évolutionnistes s'imaginèrent qu'elle appartenait à un fossile de forme intermédiaire combinant des traits humains et simiesques. Mais il s'avéra plus tard que cette dent appartenait à un ours sauvage. C'est pourquoi on peut dire que les fossiles observés par les nombreux visiteurs de musées et présentés comme preuves de l'évolution sont le produit d'une telle logique frauduleuse.

Le paléontologue évolutionniste George Gaylord Simpson du Musée Américain d'histoire naturelle reconnaît le problème des formes intermédiaires auxquels sont confrontés les évolutionnistes :

 

Cela est vrai pour tous les 32 ordres de mammifères… Les membres les plus anciens et les plus primitifs de chaque ordre ont déjà les caractères ordinaux basiques, et en aucun cas il n'est question d'une séquence approximativement continue entre un ordre et un autre. Dans la plupart des cas, la rupture est si nette et le fossé si large que l'origine de l'ordre est spéculative et matière à controverse… Cette absence régulière de formes transitionnelles ne se confine pas aux mammifères, mais il s'agit d'un phénomène quasi-universel, comme le savent depuis longtemps les paléontologues. Cela est vrai pour presque toutes les classes d'animaux, vertébrés et invertébrés… Cela est vrai pour les classes et pour les principaux phyla animaux, et c'est apparemment vrai également pour des catégories analogues de plantes.6


L'homme de Piltdown, passé pendant 43 ans pour une preuve hautement précieuse en faveur de l'évolution, s'est avéré être une fabrication. En 1953, des investigations sur le crâne ont révélé que l'homme de Piltdown n'était pas un fossile mais une contrefaçon associant des os humains et d'orangs-outans.

A droite : les fouilles à Piltdown, lieu d'origine du scandale de l'homme de Piltdown

 

En dépit de l'absence totale de preuves, les évolutionnistes continuent à défendre que "les êtres vivants ont évolué". Cette affirmation implique des millions d'espèces qui n'ont pu exister et encore moins émerger. Pourtant les évolutionnistes prétendent qu'elles se sont développées au cours d'un processus imaginaire – l'évolution – qui ne peut s'expliquer. Ceci dit, il a été prouvé qu'il est impossible que des protéines puissent naître spontanément. Pourtant, selon la théorie de l'évolution, ce miracle a bel et bien eu lieu et la protéine est née par hasard.

Il est également impossible que les organelles de la cellule naissent ensemble par coïncidence. C'est cependant ce que veut l'évolution. Ce miracle se produisit, conduisant au noyau de la cellule, aux gènes, à l'ADN, aux enzymes et aux innombrables autres structures complexes qui ne peuvent être produites artificiellement aujourd'hui, même dans des conditions de laboratoires contrôlées. Or, selon la théorie de l'évolution, tous sont nés du hasard aveugle.

Les évolutionnistes ont passé au crible les archives fossiles à la recherche d'une quelconque trace de ce processus et des changements impliqués. Cependant, encore selon les évolutionnistes, un autre miracle s'est produit : toutes les traces dans les archives fossiles ont disparu !


Les protéines sont des molécules complexes qui constituent la base des cellules vivantes et qui endossent des responsabilités importantes. Les chances pour qu'une molécule de protéine moyenne naisse par hasard sont de 1 sur 10950. (En termes pratiques, ce nombre équivaut à une probabilité nulle.) Les mathématiciens ont, eux-aussi, assené un revers sérieux au darwinisme.

La logique de cet argument suit : l'évolution est née d'une série de millions d'évènements impossibles qui, selon l'évolution, seraient issus de coïncidences aveugles et inconscientes. Le darwinisme nie l'existence de Dieu et de tout phénomène surnaturel, mais n'hésite pas à affirmer que des millions d'organismes vivants sont nés d'une série de miracles. La théorie de l'évolution présentée de manière scientifique est en réalité une croyance érigeant d'innombrables miracles et coïncidences en une multitude de divinités. 

La théorie de l'évolution est incapable de prouver qu'une seule protéine est née spontanément. Elle est incapable de présenter un seul spécimen de forme intermédiaire pour prouver que les espèces vivantes ont évolué. La théorie se réfute par ses deux composantes de base. Elle se trouve dans une situation délicate dont elle ne peut sortir en couvrant l'absence de formes intermédiaires dans les archives fossiles et dissimulant les exemples de fossiles vivants dont le nombre augmente quotidiennement. 

Face au manque de preuves, les darwinistes persistent, au contraire, à utiliser des méthodes frauduleuses. Mais le public devient de plus en plus conscient du fait que l'évolution est enseignée pour des raisons idéologiques et non scientifiques. Les darwinistes veulent donner l'impression que les fossiles de formes intermédiaires existent alors que ce n'est pas vrai et ils dissimulent les preuves du fait de la création dans les coffres des musées. Pourquoi ? La raison est évidente : ils connaissent trop bien les nombreuses preuves incontestables de l'existence de Dieu, le Seigneur de l'univers. Puisqu'ils luttent pour nier Son existence, ils tentent de cacher les faits. Or, Dieu manifeste Sa propre existence avec d'innombrables preuves et annule les plans des darwinistes. 

Ne voient-ils pas que Nous frappons la terre et que Nous la réduisons de tous côtés ? C'est Dieu qui juge et personne ne peut s'opposer à Son jugement, et Il est prompt à régler les comptes. Certes ceux d'avant eux ont manigancé ; le stratagème tout entier appartient à Dieu. Il sait ce que chaque âme acquiert. Et les mécréants sauront bientôt à qui appartient la (bonne) demeure finale. (Sourate ar-Raad, 41-42)

 

LES EVOLUTIONNISTES PRETENDENT QUE DES ORGANISMES DE FORMES INTERMEDIAIRES DOTÉS DE STRUCTURES ANORMALES ONT EXISTÉ PAR LE PASSÉ, OR PAS UN SEUL DE CES FOSSILES N'EXISTE

 


Des formes intermédiaires présentant les caractéristiques de deux espèces différentes existent uniquement dans l'imaginaire des darwinistes. En réalité, jamais de telles créatures n'ont existé.

La théorie de l'évolution avance que les êtres vivants se sont développés ou "sont descendus" d'autres formes de vie suite à des mutations. La science moderne a, cependant, prouvé qu'il s'agit là d'un grand mensonge. Il n'existe pas une seule forme intermédiaire indiquant que les formes de vie actuelles ont pu se diversifier à travers d'infimes changements.

Selon la théorie de l'évolution, toutes les espèces vivant aujourd'hui et toutes celles qui ont existé sur terre descendent toutes les unes des autres.

La transition entre les espèces se serait donc faite lentement et progressivement. Par conséquent, ont dû exister des formes de vie faisant la jonction entre deux espèces et présentant simultanément des caractéristiques de chacune de ces espèces. Selon les dires des évolutionnistes, des êtres vivants dotés de vestiges de branchies, de poumons rudimentaires, d'appendices à mi-chemin entre des nageoires et des pattes ont dû vivre pendant des millions d'années entre le moment où le poisson aurait pu totalement émerger et survivre sur la terre ferme et où il se serait transformé en reptile. Les évolutionnistes appellent ces créatures imaginaires du passé "des formes intermédiaires".

Si la théorie de l'évolution était juste, alors de nombreuses espèces de la sorte auraient existé dans le passé. Leurs nombres et leurs variétés avoisineraient les millions, voire les milliards. Ou tout moins quelques-uns de ces êtres monstrueux auraient dû laisser des traces sous forme de fossiles.


Or, à ce jour aucun fossile de forme intermédiaire n'a jamais été découvert. Charles Darwin, auteur de cette théorie, écrivait, en effet, dans le chapitre "Difficultés de la théorie" dans son livre L'origine des espèces :

 

Si les espèces derivent d'autres espèces par des degrés insensibles, pourquoi ne rencontrons-nous pas d'innombrables formes transition ? Pourquoi tout n'est-il pas dans la nature à l'état de confusion ? Pourquoi les espèces sont-elles si bien definies ? ... Mais pourquoi ne trouvons-nous pas fréquemment dans la croûte terrestre les restes de ces innombrables formes de transition qui, d'après cette hypothèse, ont dû exister ?  ... Pourquoi donc chaque formation géologique, dans chacune des couches qui la composent, ne regorge-t-elle pas de formes intermédiaires ? La géologie ne révèle assurément pas une série organique bien graduée, et c'est en cela, peut-être, que consiste l'objection la plus sérieuse qu'on puisse faire à ma théorie.7

Mis au défi par Darwin lui-même, les paléontologues évolutionnistes du milieu du 19ème siècle à aujourd'hui ont entrepris des fouilles à travers le monde entier en quête de formes intermédiaires. En dépit de leurs efforts, aucune forme transitoire n'a jamais été mise au jour. Toutes les découvertes établies au cours de recherches montrent, contrairement aux attentes de la théorie de l'évolution, que toutes les espèces sont apparues sur terre soudainement, sous leurs formes parfaites.

Le célèbre paléontologue britannique Derek Ager reconnaît ce vide, bien qu'étant lui-même un défenseur de la théorie de l'évolution :

Il apparaît, toujours et encore, si nous examinons les archives fossiles en détail, que ce soit au niveau des ordres ou des espèces, non pas une évolution graduelle mais l'explosion soudaine d'un groupe au dépens d'un autre.8 

Comme l'affirmaient Darwin et les autres personnes citées plus haut, le fait qu'aucun fossile de forme intermédiaire n'ait été déterré à ce jour souligne clairement l'invalidité de la théorie de l'évolution. Si les êtres vivants s'étaient transformés en autres formes de vie, ils auraient dû laisser un nombre important de formes intermédiaires pendant leur processus transitoire. Le monde entier devrait déborder de ces formes intermédiaires à différents stades d'évolution. Toutefois, le fait est que sur les centaines de millions de fossiles découverts jusqu'à aujourd'hui, tous appartiennent à des êtres vivants complets et parfaitement formés.

Si les thèses darwinistes étaient vraies, alors le hasard et les mutations auraient causé des problèmes considérables de proportion, de déséquilibres et de bizarreries dans le magnifique et parfait corps humain. Ils auraient provoqué des anomalies telles qu'un crâne relié à une hanche, plusieurs bras sortant de l'épaule et un grand nombre de côtes ou d'os pelviens. Les os du bras et de la jambe auraient été de travers au lieu d'être droits comme nous le voyons aujourd'hui. Pourtant aucun spécimen de fossile de ce genre n'a jamais été découvert. Les corps des milliards d'êtres humains ayant vécu ou vivant encore aujourd'hui présentent la même symétrie, le même équilibre et le même ordre. Ceci démolit la théorie darwiniste du "développement graduel", conséquence du hasard et des mutations.

        Les fossiles montrent que les espèces vivantes ont émergé instantanément, avec des structures différentes et sans subir le moindre changement sur de très longues périodes géologiques. Stephen Jay Gould, paléontologue évolutionniste de l'Université d'Harvard, a reconnu ce fait :


L'histoire de la plupart des espèces fossiles présente deux caractéristiques particulièrement incohérentes avec le gradualisme :

1. La stagnation : la plupart des espèces ne dénotent aucun changement directionnel durant leur vie sur terre. Elles apparaissent dans les archives fossiles sous une forme très semblable à celle du moment de leur disparition ; le changement morphologique est habituellement limité et sans direction.

2. L'apparition soudaine : nulle part, aucune espèce ne provient de la transformation graduelle et progressive de ses ancêtres ; elle apparaît tout d'un coup et "pleinement formée".11

Si l'évolution avait réellement eu lieu, la terre regorgerait de milliards de fossiles intermédiaires. Qui plus est, en raison des effets des mutations, ces formes de vie, dont le nombre avoisinerait les millions, devraient être d'apparence extrêmement anormales.

Du point de vue évolutionniste, tous les êtres vivants – et tous leurs organes – naquirent d'une série de mutations aléatoires. Si cela était bien le cas, un organe naissant avec une structure anormale aurait dû être soumis à de nombreuses mutations pendant que ses fonctions se développaient. Un tel organe aurait dû connaître des états anormaux à chaque étape. Avant d'atteindre la perfection aujourd'hui visible, les êtres vivants en question auraient dû endurer des structures anormales et paraître très gauches. Par exemple, avant d'aboutir à un visage humain symétrique avec deux yeux, deux oreilles, un nez, une bouche, il aurait dû y avoir un très grand nombre de visages anormaux asymétriques, avec plusieurs oreilles et yeux, un nez entre les yeux ou sur la mâchoire, ou des yeux à l'arrière de la tête ou sur les joues, un nez à la place d'une oreille descendant jusqu'au cou, et des millions voire des milliards d'autres défauts. En effet, avant d'atteindre l'ultime étape, il aurait dû exister des créatures avec une oreille sur la plante des pieds ou un œil dans le dos, la bouche sur le ventre, avec deux ou trois cerveaux, incapables de se tenir debout parce qu'elles n'auraient pas encore de rotules, avec trois ou cinq bras de chaque coté du corps au lieu d'un seul, ou dont les os de pied seraient arrangés cote à cote au lieu de l'arrière à l'avant afin de pouvoir se tenir debout convenablement.

Pas un seul exemple tangible n'existe cependant. Des fossiles d'homme à deux, trois ou quatre têtes, avec des centaines d'yeux comme les insectes, avec plusieurs bras ou même avec des bras de deux mètres de long et de nombreuses autres anomalies auraient dû être découverts. De la même manière, il devrait y avoir des spécimens anormaux de chaque espèce végétale et animale. Les fossiles intermédiaires de toutes les créatures marines auraient dû également engendrer des individus anormaux. Pourtant il n'en existe pas un seul. Les millions de fossiles appartiennent tous à des êtres vivants parfaitement normaux.

Ce fait illustre clairement la chute de la théorie de l'évolution. Aucune personne rationnelle ne peut épouser la théorie tout en gardant l'espoir que ces exceptions seront un jour mises au jour, même si chaque fossile découvert au cours des 150 dernières années réfute la théorie de l'évolution. Un siècle et demi est passé, sans qu'aucun gisement de fossiles sur terre n'ait été épargné. Les millions de dollars consacrés aux fouilles n'ont pas permis de trouver les fossiles transitoires auxquels s'attendait Darwin. En revanche, nous disposons de millions de spécimens de "fossiles vivants" étayant le fait de la création.
 

En plus d'être bien protégés, les yeux sont situés sur une région du corps permettant la forme de vision la plus aisée et la plus efficace. Qu'adviendrait-il si les yeux étaient situés ailleurs sur le visage, sous le nez par exemple ? En plus d'exposer l'œil à un risque de blessure, cela donnerait au visage une apparence quelque peu repoussante. Sans compter que la vision serait beaucoup plus limitée.

A tous les égards, la position des yeux est idéale, alors que la symétrie contribue à l'aspect esthétique. La distance moyenne entre les yeux équivaut à la largeur d'un œil. Quand cette proportion est modifiée, c'est-à-dire si la distance entre les yeux est plus ou moins rapprochée, l'expression du visage entier change.

L'œil avec toutes ses caractéristiques est l'une des preuves que les êtres humains sont créés par Dieu. Dans le Coran, Dieu nous informe :

  • C'est Dieu qui vous a assigné la terre comme demeure stable et le ciel comme toit et vous a donné votre forme. Et quelle belle forme Il vous a donné ! Il vous a nourri de bonnes choses. Tel est Dieu, votre Seigneur. Gloire à Dieu, Seigneur de l'univers ! (Sourate Gafir, 64)

Les évolutionnistes prétendent, cependant, que l'œil aurait progressivement pris possession de sa structure parfaite sous les effets des mutations fortuites. La succession de coïncidences aléatoires et non-intentionnelles se produirait sur des millions d'années. Cela signifie donc que l'œil aurait dû subir des millions de différentes anomalies avant d'aboutir enfin à sa structure finale immaculée. Par exemple, il aurait dû y avoir des yeux qui se situeraient sur les pieds des êtres humains ou sur leurs dos au lieu de leurs têtes, des yeux en grands nombres comme chez les insectes plutôt que deux yeux symétriques, des yeux rapidement atteints de cécité à cause de l'absence de glandes lacrymales, des yeux qui ne pourraient pas percevoir la lumière car la cornée ne serait pas transparente, rendant par conséquent la vue impossible ou alors des yeux ne pouvant fonctionner correctement en raison d'un petit changement de lumière et de l'absence d'iris. Ce ne sont qu'un petit nombre d'anomalies éventuelles. Il suffit de penser aux composants des yeux et à leurs fonctions pour s'imaginer les millions de défauts possibles dans l'œil.

A ce jour, il faut noter qu'aucun spécimen de fossile doté de systèmes oculaires anormaux ou défectueux n'a jamais été découvert. Tous les organismes dans les archives fossiles possèdent leurs propres yeux parfaits. Cela démontre une fois de plus que l'idée évolutionniste voulant que les êtres vivants soient nés d'une série de changements infimes est un mensonge.

Lui qui a bien fait tout ce qu'Il a créé. Et Il a commencé la création de l'homme à partir de l'argile, puis Il tira sa descendance d'une goutte d'eau vile ; puis Il lui donna sa forme parfaite et lui insuffla de Son esprit. Et Il vous a assigné l'ouïe, les yeux et le cœur. Que vous êtes peu reconnaissants ! (Sourate as-Sajda : 7-9)


      Harun Yahia

(Extrait du livre de l'auteur: l'Atlas de la Création - Tome 2) 


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NOTES/

4- B.E. Bishop, "Mendel's Opposition to Evolution and to Darwin", Journal of Heredity, 87, 1996, pp. 205-213 ; voir aussi L.A. Callender, "Gregor Mendel: An Opponent of Descent with Modification", History of Science, 26, 1988, pp. 41-75
5- Lee Spetner, Not By Chance!, The Judaica Press, New York, 1997, p. 20
6- Michael Denton, Evolution: A Theory in Crisis, Burnett Books, Londres, 1985
7- Charles Darwin, L'origine des espèces, GF Flammarion, Paris, 1992, p. 230 (soulignement ajouté)
8- V. C. Wynne-Edwards, "Self Regulating Systems in Populations of Animals", Science, vol. 147, 26 mars 1965, pp. 1543-1548; V. C. Wynne-Edwards, Evolution Through Group Selection, Londres, 1986
9- A. D. Bradshaw, "Evolutionary significance of phenotypic plasticity in plants", Advances in Genetics, vol. 13, pp. 115-155 ; cité dans Not By Chance! de Lee Spetner : Shattering the Modern Theory of Evolution, The Judaica Press, Inc., New York, 1997, pp. 16-17
10- Andy Coghlan "Suicide Squad", New Scientist, 10 juillet 1999
11- Colin Patterson, "Cladistics", "La cladistique", Interview de Brian Leek, 4 mars 1982, BBC (soulignement ajouté)

 

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