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18 mai 2010 2 18 /05 /mai /2010 17:59

 

LES ARCHIVES FOSSILES CONFIRMENT LA CREATION:

 

 

Darwin prédit que les formes de vie restées inchangées pendant des millions d'années allaient représenter une difficulté majeure pour sa théorie, et il y fit fréquemment référence. Ces espèces spéciales furent même baptisées "fossiles vivants" par Darwin lui-même !

 

Le paléontologue évolutionniste Peter Douglas Ward fait allusion au problème de Darwin :

 

Pourtant, le principe central de Darwin était que la plupart des organismes changent à travers le temps. Mais ont-ils tous changé dans les mêmes proportions ou les proportions ont-elles varié ? Darwin était persuadé qu'elles variaient, car il pouvait désigner une série de créatures assez similaires aux fossiles qu'il avait pu voir, dont certains étaient issus de très anciennes strates. Darwin confronta ce problème à plusieurs reprises. Bien qu'il semblât satisfait de l'explication fournie dans L'origine des espèces, le fait même qu'il portât ces "fossiles vivants" à l'attention de ses lecteurs suggère qu'il n'était pas entièrement à l'aise avec le phénomène. Il écrit par exemple : "Dans certains cas… des formes faiblement organisées semblent avoir été préservées jusqu'au présent, du fait d'un mode de vie confiné ou dans des endroits particuliers, où elles ont été soumises à une concurrence moins sévère et où leur nombre minuscule a retardé les chances de variations favorables." L'existence des fossiles vivants, un terme qu'il inventa, continua à le déconcerter, et servit d'arme contre lui à ses nombreux critiqueurs."12

 

Darwin décrivait les êtres vivants en question comme des "formes faiblement organisées", c'est pourquoi il essaya de présenter la question sous un angle mineur en proposant une justification à leur survie. Pourtant ces fossiles sont identiques aux spécimens actuels. Ils présentent des caractéristiques excessivement développées. Leur survie ne peut s'expliquer avec les quelques arguments auxquels Darwin lui-même avait du mal à croire.


Un fossile de grenouille datant de 49 millions d'années découvert en Allemagne s'avère identique aux spécimens vivant aujourd'hui.

 

Quant aux successeurs de Darwin, le problème était beaucoup moins limité qu'il ne le fut du temps de Darwin. Le nombre de fossiles exhumés des nombreuses strates terrestres s'élevait à des millions. Leur quête de formes intermédiaires s'acheva avec la découverte de fossiles vivants. Des restes découverts dans des couches datant de millions d'années s'avérèrent identiques à leurs homologues vivants aujourd'hui. Ceci constitue l'un des coups majeurs assenés à la théorie de l'évolution précipitant la chute de celle-ci.

 

Darwin a certes pu être mal à l'aise avec l'existence des fossiles vivants, mais il ignorait alors l'étendue de leur diversité. Il ne savait pas non plus combien de ces spécimens fossilisés allaient émerger dans les années futures. Au lieu des formes intermédiaires escomptées par Darwin, ce sont d'innombrables spécimens de fossiles vivants qui furent exhumés, ce qui constitua une déception majeure pour lui et sa théorie.

 

A ce jour, des millions de fossiles vivants ont été découverts dans les strates de la terre. Certains trouvent un relais dans les médias, mais la grande majorité est consignée dans les coffres de divers musées. L'existence des fossiles vivants est, néanmoins, trop importante pour être étouffée en les cachant, parce que toutes les strates sédimentaires sondées dévoilent leur lot de spécimens de fossiles vivants. Ceux qui suivent la presse peuvent s'imaginer qu'il n'existe qu'un nombre très limité de fossiles vivants et qu'ils ne sont exhumés que rarement. Pourtant ce n'est pas du tout le cas. Ces fossiles – représentants antérieurs datant de millions d'années des formes de vie actuelles – sont découverts partout.

 


Confrontés à ce fossile ayant existé il y a 95 millions d'années et identique aux requins-chats d'aujourd'hui, les darwinistes n'ont d'autre alternative que d'admettre que leurs théories sont simplement les fruits de leur imagination.

La stagnation dans les archives fossiles ne put être expliquée ni par Darwin ni par ceux qui lui succédèrent. A l'origine, les évolutionnistes soutenaient que par exemple des blattes de 350 millions d'années n'avaient pas changé parce qu'"elles étaient capables de s'adapter à tous les environnements et donc de se nourrir de toutes sortes de choses".

Les évolutionnistes n'ont jamais soulevé la question de savoir comment un insecte de 350 millions d'années a pu apparaître sous sa forme complète et complexe alors qu'il aurait dû être, selon les évolutionnistes, extrêmement primitif. Ils ignorèrent délibérément que quelle que soit sa capacité d'adaptation, cet insecte aurait dû se développer graduellement si l'on se réfère toujours à la théorie de l'évolution.

 

Des hypothèses similaires furent émises à propos d'autres formes de vie. Bien que le lézard tuatara de 200 millions d'années ne soit nullement différent de ses congénères actuels, ils continuent à défendre l'idée d'évolution progressive des êtres vivants. Mystérieusement, cette théorie ne s'est pas appliquée aux blattes qui se reproduisent rapidement ni aux archéobactéries capables de se reproduire en l'espace de quelques minutes, dont on a trouvé des èfossiles remontant à 3,5 milliards d'années ! C'est pourquoi les évolutionnistes attachent de l'importance à seulement quelques fossiles vivants. Elaborer des justifications non scientifiques, illogiques et incohérentes ne sort pas de l'ordinaire des évolutionnistes. Si tous les fossiles vivants recevaient le même intérêt, il ne serait ni possible ni crédible de fabriquer une justification de l'existence de chacun d'entre eux.

 


Les fouilles menées dans le monde entier au cours des 150 dernières années n'ont pas révélé le moindre fossile penchant en faveur de l'évolution. Tous les fossiles déterrés confirment le fait de la création.

Le magazine New Scientist faisait allusion au besoin des évolutionnistes à trouver des excuses invalides et l'inutilité de ces dernières :

 

La contrainte évolutionniste ne peut pas expliquer la persistance de tous les fossiles vivants. Tout ceci laisse une image assez compliquée… Rester général ou se spécialiser. Vivre vite ou lentement. Etre simple ou non. Etre au bon endroit au bon moment. Si tout le reste échoue, essayer de devenir une "super-espèce", béni d'une physiologie capable de résister à tout.13

 

Autrement dit, les darwinistes sont prêts à associer l'existence des fossiles vivants à n'importe quelle cause en dehors du fait de la création. Si toutes leurs explications ne tiennent pas la route, ils qualifieront alors un organisme particulier de "super-espèce" comme le mentionne clairement le New Scientist. L'unique chose à laquelle se refuseraient les darwinistes est de reconnaître que la forme de vie en question fut "créée" à l'origine.

 

Ce discours incohérent, derrière lequel Darwin s'était caché et que les darwinistes contemporains évitent généralement de mentionner, a été totalement démoli par le nombre extraordinaire de fossiles exhibant la stagnation. Il existe plus de "fossiles vivants" que de scénarios imaginables par les évolutionnistes. Ces fossiles sont le signe clair que l'évolution n'a jamais eu lieu.

 

D'après la théorie de l'évolution, un animal ressemblant à un loup contemporain plongea dans la mer un jour et en l'espace de 50 millions d'années, ses descendants se transformèrent en un gigantesque mammifère : la baleine.14 Si malgré l'absence de logique évidente, l'évolution est capable de transformer un mammifère terrestre en une baleine en un si bref laps de temps géologique, comment la salamandre a-t-elle pu rester identique pendant 160 millions d'années ? Aucun évolutionniste ne détient la réponse scientifique. Le problème ne se limite pas aux salamandres, mais à d'innombrables espèces et exemples de fossiles vivants aujourd'hui dont nous présenterons des spécimens dans les derniers chapitres de cet ouvrage. Un nombre conséquent de spécimens vient confirmer la stagnation dans les archives fossiles, comme l'affirme l'évolutionniste Niles Eldredge, paléontologue au Musée Américain d'histoire naturelle :

 

La stagnation est maintenant abondamment documentée comme le schéma paléontologique dominant dans l'histoire évolutionniste des espèces.15

 

Les spécimens mis à jour prouvent qu'il y a des millions d'années, un grand nombre d'êtres vivants disposaient des mêmes caractéristiques anatomiques que leurs congénères actuels. Près de 84% de la famille des insectes ayant vécu il y a 100 millions d'années existent aujourd'hui encore.16

 

La botaniste Margaret Helder cite les points de vue de Niles Elredge et décrit cette magnifique diversité des fossiles vivants de la sorte :

 

La caractérisation d'un organisme en tant que fossile vivant dépend du degré de similarité que l'observateur cherche entre la créature vivante et le fossile. Si la définition se fait en termes de catégories générales d'organisme, telles que les éponges en général ou les fougères en général, voire des groupes spécifiques de fougères, alors Niles Eldredge dit : "… avec une telle mesure, pratiquement tout est un fossile vivant."17 Que l'on se permette une définition aussi large ou non, il est prudent de conclure que les fossiles vivants ne sont pas rares.18

 


Ce fossile de blatte remontant à 125 millions d’années représente un coup dur pour la théorie de l’évolution défendant que les êtres vivants sont dans un état constant de développement. Ces insectes n’ont pas changé en dépit des millions d’années passées.

Sans aucun doute, l'apparition de ces formes de vie en grand nombre ne surprend pas l'individu rationnel. Si les hommes peuvent voir que Dieu a créé tous les êtres vivants, alors ils peuvent également comprendre les preuves manifestes issues des fossiles. A travers l'histoire de la vie, les organismes n'ont guère évolué, mais sont nés soudainement dotés des caractéristiques les plus complexes et parfaites.

 

Il est facile pour Dieu de créer un être vivant qui existe aujourd'hui encore avec les mêmes traits surprenants qu'il y a des millions d'années. Ceux capables d'apprécier cette vérité voit dans l'existence des fossiles vivants l'une des preuves de la création de Dieu. La terre ne fournit pas la moindre preuve de l'évolution théorisée par Darwin, mais confirme plutôt le fait de la création. Niles Eldredge est l'un des évolutionnistes qui reconnaît la faille :

 

Une simple extrapolation ne fonctionne pas. Je m'en suis rendu compte dans les années 60, lorsque j'essayais en vain de documenter des exemples de changement directionnel lent et constant auquel nous croyions tous, depuis que Darwin nous avait dit que la sélection naturelle laisserait précisément une trace aussi révélatrice à mesure que nous collections nos fossiles. J'ai compris au lieu de cela qu'une fois que les espèces apparaissent dans les archives fossiles, elles n'ont pas tendance à changer beaucoup. Les espèces demeurent imperturbables, implacablement résistantes au hasard.19


Un fossile de scorpion de 110 millions d'années et un fossile de sauterelle de 108 à 92 millions d'années démontrent que ces créatures ont conservé exactement les mêmes structures et les mêmes caractéristiques pendant des dizaines de millions d'années et qu'elles n'ont donc pas changé. Autrement dit, elles n'ont pas subi de processus d'évolution.

 

Ces propos démontrent bien que les "preuves chez les fossiles", "le processus évolutionniste" et "le changement progressif ou ponctuel chez les êtres vivants" ne sont que des spéculations. A la vue de ces faits, personne ne peut avoir foi en la conjecture darwiniste – des affirmations spéculatives démolies plus en détails dans les chapitres suivants. Pierre-Paul Grassé, célèbre zoologiste français mentionne l'erreur de l'évolution :

 

"L'évolution en action" de J. Huxley et d'autres biologistes est simplement une observation de faits démographiques, de fluctuations locales de génotypes, de distributions géographiques. Souvent les espèces concernées sont restées pratiquement inchangées pendant des centaines de siècles ! La fluctuation en tant que résultat de circonstances avec des modifications préalables de génome, n'implique pas l'évolution, et nous en avons les preuves tangibles chez de nombreuses espèces panchroniques (c'est-à-dire des fossiles vivants identiques depuis des millions d'années)… 20

Il est essentiel que les gouvernements des pays où les spécimens de fossiles vivants sont exhumés leur accordent toute leur importance et les présentent au monde comme une preuve scientifique essentielle. Sinon, une conception peu soucieuse des faits scientifiques – à savoir la théorie de l'évolution – continuera à jouir d'un soutien aveugle au moyen de propagande et de tricherie. Les archives fossiles étayant l'histoire de la vie sur terre démontrent que les êtres vivants n'ont jamais évolué, mais qu'ils sont apparus soudainement avec toutes leurs caractéristiques complexes. En d'autres termes, les fossiles défendent le fait de la création.

 

Tout comme elle est incapable d'expliquer l'origine de la vie, la théorie de l'évolution est impuissante face à la variété des espèces.

Les personnes ayant un intérêt limité en matière de sciences peuvent s'imaginer, sur la base des articles dans la presse que les spécimens de fossiles ne sont découverts au cours de fouille que très rarement. La presse les incite ainsi à croire que les fossiles découverts sont la preuve de la théorie dite de l'évolution.

La vérité est cependant toute autre. Des millions de fossiles ont été découverts à ce jour, et il en reste encore des milliers enfouis en Grande-Bretagne, au Liban, en Russie, au Canada, à Madagascar, en Chine, au Brésil, au Pérou et ailleurs dans le monde.

 

Ces fossiles sont préservés dans des musées dans différents pays du monde ou dans les collections privées de scientifiques et de chercheurs. Peu importe la manipulation des évolutionnistes dans leur manière de présenter les fossiles au public et peu importent leurs efforts à dissimuler la majorité des fossiles de l'attention du public, il n'est plus possible de cacher les faits.

Les faits révélés par les fossiles sont :

1. La vie n'est pas née d'une série d'étapes. Toutes les espèces – vivantes et éteintes – apparurent soudainement dans les archives fossiles.

2. Les organismes vivants n'ont jamais changé depuis leur première apparition sur terre, et aussi longtemps qu'ils ont existé.

En d'autres termes, la thèse darwiniste déclarant que les espèces vivantes descendent les unes des autres par voie de petits changements est totalement invalide. Le fait est que Dieu créa tous les êtres vivants à partir du néant.

Les darwinistes sont incapables de désigner le moindre fossile prouvant l'évolution des êtres vivants. Parallèlement, des millions de fossiles exposés dans des centaines de musées, cachés dans les coffres de nombreux musées, conservés dans les départements de paléontologie d'universités ou gardés dans des collections de scientifiques ou de chercheurs indiquent tous que les êtres vivants furent créés. Face au nombre croissant de fossiles aux caractéristiques inchangées, les évolutionnistes n'ont d'autre choix que celui de ne plus défendre le concept d'évolution.

De nombreux évolutionnistes admettent désormais qu'en dépit de la richesse des archives fossiles, ils ne trouvent pas de quoi étayer la théorie de l'évolution, ce qui tend à l'infirmer. Le professeur T. Neville George de l'Université de Glasgow tient, par exemple, les propos suivants :

Il est inutile de chercher des excuses dans la pauvreté des archives fossiles. D'une certaine manière, elles sont devenues riches à un point ingérable, et la découverte dépasse l'intégration. ... Les archives fossiles continuent néanmoins à être composées principalement de fossés. (T. Neville George, "Fossils in Evolutionary Perspective", Science Progress, vol. 48, Janvier 1960, p. 1)

 

Harun Yahia

(Extrait du livre de l'auteur: l'Atlas de la Création - Tome 2)

 

 

 

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NOTES/

12- Phillip E. Johnson, Darwin On Trial, Intervarsity Press, Illinois, 1993, p. 27
13- Pour une information détaillée sur le Mélanisme industriel, voir Phillip Johnson, Darwin On Trial, InterVarsity Press, 2ème Ed., Washington D.C., p. 26
14- Jonathan Wells, Icons of Evolution: Science or Myth? Why Much of What We Teach About Evolution is Wrong, Regnery Publishing, Washington, 2000, pp. 149-150
15- Jonathan Wells, Icons of Evolution: Science or Myth? Why Much of What We Teach About Evolution is Wrong, Regnery Publishing, Washington, 2000, pp. 141-151
16- Jerry Coyne, "Not Black and White", une révision de Melanism: Evolution in Action de Michael Majerus, Nature, 396, 1988, pp. 35-36
17- Stephen Jay Gould, "The Return of Hopeful Monster", Natural History, vol. 86, juin-juillet 1977, p. 28
18- Charles Darwin, L'origine des espèces, GF Flammarion, Paris, 1992, pp. 241-242 (soulignement ajouté)
19- B. G. Ranganathan, Origins ?, Pennsylvania: The Banner Of Truth Trust, 1988 (soulignement ajouté)
20- Warren Weaver et al., "Genetic Effects of Atomic Radiation", Science, vol. 123, 29 juin 1956, p. 1159 (soulignement ajouté)

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