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14 mai 2010 5 14 /05 /mai /2010 21:13

 Le modèle néo-darwiniste, que nous considérerons comme le "courant dominant" de la théorie de l'évolution de nos jours, prétend que la vie s'est développée à travers deux mécanismes naturalistes : "la sélection naturelle" et "la mutation". Cette théorie soutient principalement que la sélection naturelle et la mutation sont deux mécanismes complémentaires. L'origine des modifications évolutionnistes réside dans la mutation qui s'opère au hasard dans la structure génétique des êtres vivants. Les traits provoqués par les mutations sont sélectionnés par le mécanisme de la sélection naturelle ce qui entraîne l'évolution des êtres vivants.   

Lorsque nous examinons cette théorie de plus près, nous trouvons que ces mécanismes évolutionnistes n'existent pas du tout. Ni la sélection naturelle ni les mutations ne contribuent à la transformation des diverses espèces les unes en les autres et la prétention qu'elles le font est complètement dénuée de tout fondement. 

La sélection naturelle

La sélection naturelle, qui est un processus de la nature, était connue des biologistes avant Darwin. Celui-ci l'a définie comme "un mécanisme qui protège les espèces du changement sans être altérées". Il a été le premier à avancer que ce processus avait un pouvoir évolutionniste et donc construit sa théorie entière sur ce postulat. Le titre qu'il a choisi pour son livre illustre bien que la sélection naturelle était la base de sa théorie : L'origine des espèces, par la sélection naturelle… 

Cependant, depuis l'époque de Darwin il n'y a pas eu le soupçon d'une preuve que la sélection naturelle entraîne une évolution des êtres vivants. Colin Patterson, le paléontologue par excellence du Musée Britannique d'Histoire Naturelle à Londres et un évolutionniste éminent, affirme qu'aucune observation n'a jamais prouvé que la sélection naturelle pouvait causer l'évolution des choses :

"Personne n'a jamais produit une espèce grâce aux mécanismes de sélection naturelle. Personne n'a jamais pu s'en approcher et c'est sur ce point que la polémique se focalise dans le néo-darwinisme."13

La sélection naturelle soutient que les êtres vivants qui s'adaptent le mieux aux conditions naturelles de leur environnement vaincront et survivront, alors que ceux qui n'y arrivent pas disparaîtront. Par exemple, au sein d'un troupeau de cerfs sous la menace d'animaux prédateurs, ceux qui peuvent courir plus vite seront naturellement les survivants. Ceci est incontestable. En revanche, peu importe combien de temps ce processus continuera, il ne pourra pas transformer ces cerfs en d'autres espèces. Un cerf sera toujours un cerf.

Lorsque nous examinons les phénomènes présentés par les évolutionnistes comme des exemples de sélection naturelle, nous trouverons qu'il ne s'agit que des tentatives d'induire le lecteur en erreur. 

Le mélanisme industriel

En 1986, Douglas Futuyma publia un livre intitulé The Biology of Evolution (La biologie de l'évolution). Ce livre est considéré comme l'une des sources expliquant de manière très explicite la théorie de l'évolution par la sélection naturelle. L'un de ses exemples les plus connus à ce sujet est la couleur des phalènes, qui était plus sombre durant la révolution industrielle en Angleterre. Il est possible de trouver l'histoire du mélanisme industriel dans presque tous les ouvrages de la biologie évolutionniste et pas seulement dans celui de Futuyma. L'histoire est basée sur une série d'expériences conduites par le physicien et biologiste britannique, Bernard Kettlewel durant les années 50 et peut être résumée ainsi : 


L'exemple du mélanisme industriel ne prouve certainement pas la théorie de l'évolution, car le processus n'avait pas produit de nouvelles espèces de phalènes. La sélection ne se faisait que parmi les variétés déjà existantes. En cela, l'histoire traditionnelle du mélanisme est trompeuse. Les photos à gauche prétendues authentiques sont extraites de livres scolaires. Il ne s'agit en réalité que d'un montage des évolutionnistes qui ont collé et accroché sur les troncs d'arbres des spécimens morts

Selon le compte rendu, vers le début de la révolution industrielle en Angleterre, la couleur de l'écorce des arbres dans les environs de Manchester était plutôt claire. Ainsi, les phalènes de couleur plus sombre (mélanique) qui se posaient sur ces arbres pouvaient êtres facilement repérées par les oiseaux qui s'en nourrissaient et par conséquent avaient peu de chance de survivre. Cinquante années plus tard, dans les régions boisées où la pollution a tué les lichens, les écorces des arbres avaient noirci et à ce moment-là les phalènes dont la couleur était plus claire devenaient la cible idéale. Ainsi, la proportion de phalènes à couleur claire par rapport aux phalènes à couleur sombre s'est réduite. Les évolutionnistes pensent que ce phénomène est une preuve irréfutable de leur théorie. Il n'en demeure pas moins que ces évolutionnistes se consolent et se réfugient derrière cette façade qui consiste à montrer comment les phalènes claires se sont "transformées" en phalènes sombres.

 

Cependant, il faut bien préciser – même si l'on croit que c'est vrai – que cette situation ne saurait être utilisée en tant que preuve de la théorie de l'évolution puisqu'aucune forme nouvelle ne s'est produite, qui n'existait pas avant. Les phalènes de couleur sombre existaient bien avant la révolution industrielle. Ce qui a changé en revanche ce sont les proportions des variétés existantes dans la population des phalènes. En effet, les phalènes n'ont pas acquis un nouveau trait ou un nouvel organe, qui aurait causé l'apparition d'une nouvelle "espèce". Pour qu'une phalène se transforme en une autre espèce, un oiseau par exemple, de nouveaux éléments devraient être ajoutés à ses gènes. C'est-à-dire, un programme génétique complètement distinct devait être réalisé afin d'inclure des informations sur les caractéristiques physiques de l'oiseau. 

C'est la réponse à fournir face à l'histoire racontée par les évolutionnistes concernant le mélanisme évolutionniste. Toutefois, il existe un aspect plus intéressant à cette histoire : ce n'est pas seulement son interprétation qui comporte des anomalies mais l'histoire elle-même. Comme l'explique si bien le spécialiste en biologie moléculaire dans son livre Icons of Evolution, l'histoire des phalènes répétée dans tous les ouvrages de biologie évolutionniste, devenant ainsi une "icône" en ce sens, est loin de refléter la vérité. Wells évoque dans son livre comment l'expérience de Bernard Kettlewell, qui est connue en tant que "preuve expérimentale" de l'histoire, est au fait un scandale scientifique. Certains éléments principaux de ce scandale sont : 

- Plusieurs expériences effectuées après que Kettlewell a révélé que seule une partie de ces phalènes se plaçait sur les troncs d'arbres et que toutes les autres préféraient se mettre sous les petites branches horizontales. Depuis 1980, il était évident que les phalènes sombres ne se mettent généralement pas sur les arbres. En 25 ans de travail sur le terrain, plusieurs scientifiques tels Cyril Clarke et Rory Howlett, Michael Majerus, Tony Liebert et Paul Brakefield ont conclu que "dans l'expérience de Kettlewell, les phalènes ont été forcées à réagir de manière atypique. Aussi, les résultats des tests ne pouvaient-ils pas être acceptés comme scientifiques". 

- Les scientifiques qui ont testé les conclusions de Kettlewell ont trouvé des choses encore plus intéressantes. Alors que le nombre de phalènes claires devrait être plus important dans les régions moins polluées d'Angleterre, les phalènes sombres là-bas étaient quatre fois plus nombreuses que les claires. Cela revient à dire qu'il n'existe pas de corrélation entre la population des phalènes et les troncs d'arbres comme le soutient Kettlewell et le répètent presque toutes les sources évolutionnistes. 

- Au fur et à mesure que la recherche s'approfondissait, le scandale changeait de dimension : "les phalènes sur les troncs d'arbres" photographiées par Kettlewell, étaient en réalité des phalènes mortes. Kettlewel avait utilisé des spécimens morts collés ou accrochés à des troncs d'arbres puis photographiés dessus. En vérité, il y avait peu de chances de prendre une telle photo car les phalènes n'étaient pas sur les troncs mais plutôt entre les feuilles.14 

Ces faits n'ont été dévoilés par la communauté scientifique que dans les années 90. L'effondrement du mythe du mélanisme industriel, qui fut pendant des décennies l'un des plus précieux sujets dans les cours de "l'introduction à l'évolution" aux universités, a profondément déçu les évolutionnistes. L'un d'eux, Jerry Coyne, a déclaré :

"Ma propre réaction ressemble au désarroi lorsque j'ai découvert à l'âge de six ans que c'était mon père et non pas le père Noël qui amenait les cadeaux de Noël." 15

Ainsi, "l'exemple le plus célèbre de la théorie de la sélection naturelle" a été relégué aux oubliettes de l'histoire en tant que scandale scientifique. C'était inévitable, car la sélection naturelle n'est pas un "mécanisme évolutionniste" contrairement à ce que les évolutionnistes prétendent. Elle n'est pas capable d'ajouter un nouvel organe à un organisme vivant, encore moins de le lui enlever ou transformer l'organisme d'une espèce en celui d'une autre.

Pourquoi la sélection naturelle ne peut-elle expliquer la complexité ?

 


La sélection naturelle est un mécanisme qui sert à éliminer les individus faibles au sein d'une espèce. Il s'agit d'une force de conservation qui préserve l'espèce existante de la dégénérescence. Au-delà de cela, elle n'a aucune capacité de transformer une espèce en une autre.

La sélection naturelle ne contribue en rien à la théorie de l'évolution. Car ce mécanisme ne peut jamais accroître ou améliorer l'information génétique d'une espèce, encore moins transformer une espèce en une autre ; une étoile de mer en un poisson, un poisson en une grenouille, une grenouille en crocodile ou un crocodile en oiseau. Le défenseur le plus fervent de l'équilibre ponctué, Stephen Jay Gould, évoque cette impasse de la sélection naturelle comme suit :

"L'essence du darwinisme réside en une seule phrase : la sélection naturelle est la force créative du changement évolutionniste. Personne ne nie que la sélection jouera un rôle négatif dans l'élimination du plus faible. Les théories darwiniennes exigent d'elles la création du plus fort également."16 

L'une des méthodes trompeuses employées par les évolutionnistes dans le cadre de la sélection naturelle est leur effort qui consiste à présenter ce mécanisme en tant que conscient. Toutefois, la sélection naturelle n'a pas de conscience. Elle ne possède pas une volonté capable de décider ce qui est bien et ce qui mauvais pour les êtres vivants. Par conséquent, on ne peut pas expliquer les systèmes biologiques et les organes qui possèdent des caractéristiques de "complexité irréductible" par la sélection naturelle. Ces systèmes et organes sont composés de plusieurs parties travaillant ensemble et ne sont plus fonctionnels si l'une de ces parties est absente ou défectueuse. (Par exemple, l'œil humain ne fonctionne que s'il existe avec tous ses composants intacts.) Ainsi, la volonté qui regroupe toutes ces parties doit être capable d'anticiper le futur et d'opter pour un objectif bénéfique que l'on doit atteindre lors de l'étape finale. Puisque la selection naturelle est dénuée de conscience et de volonté, elle est incapable d'accomplir une telle tâche. Ce fait, qui démolit les fondations de la théorie de l'évolution, inquiétait également Darwin qui a écrit :

"Si la démonstration pouvait être faite que l'organe complexe existe sans avoir été formé par de nombreuses petites modifications successives, ma théorie ne tiendrait plus."17

Par la sélection naturelle, seuls le faible, le défiguré ou les individus les moins adaptés parmi une espèce sont éliminés. De nouvelles espèces, de nouvelles informations génétiques ou de nouveaux organes ne peuvent être produits. En bref, les êtres vivants ne  peuvent évoluer par la sélection naturelle. Darwin avait accepté cette réalité en déclarant : "La sélection naturelle ne peut rien faire avant que les variations favorables n'aient lieu".18 C'est pour cela que le néo-darwinisme a dû élever les mutations à la hauteur de la sélection naturelle comme "cause des changements bénéfiques". Toutefois, comme nous allons le voir, les mutations ne peuvent être que "la source de changements nuisibles".

 

Les mutations

 


Les mutations n'ajoutent jamais de nouvelles informations à l'ADN : les particules qui forment l'information génétique sont arrachées de leur place ou transportées vers d'autres endroits. Les mutations ne peuvent pas permettre à un organisme vivant d'acquérir un nouvel organe ou un nouveau trait. Elles ne causent que des anomalies comme une jambe qui pend d'un dos ou une oreille qui sort d'un abdomen.

Les mutations sont des coupures ou des remplacements ayant lieu à l'intérieur de la molécule d'ADN qui se trouve dans le noyau des cellules d'un organisme vivant et qui contient toute son information génétique. Ces coupures ou remplacements résultent d'effets externes tels que les radiations ou les actions chimiques. Chaque mutation est un "accident" qui soit détériore les nucléotides qui composent l'ADN, soit change leur position. La plupart du temps, les mutations causent des modifications et des dégâts conséquents que la cellule est incapable de réparer.

Le concept de mutation que les évolutionnistes utilisent souvent comme argument, n'est pas une baguette magique qui transforme les organismes vivants en un état parfait. L'effet direct des mutations est nuisible. Les changements qui résultent des mutations peuvent être assimilés à ceux subis par la population de Hiroshima, Nagasaki et Chernobyl : mort, handicap et maladie…

La raison en est très simple : l'ADN est une structure très complexe et les effets qui se produisent au hasard ne peuvent qu'être nuisibles à l'organisme. B.G. Ranganathan explique :

"Premièrement de véritables mutations sont très rares dans la nature. Deuxièmement, la plupart des mutations sont nuisibles puisque ce sont des changements aléatoires plutôt qu'ordonnés dans la structure des gènes ; wwtout changement qui s'opère au hasard dans un sytème hautement ordonné sera en pire, non mieux. Par exemple, si un tremblement de terre secouait une structure hautement ordonnée telle qu'un immeuble, il y aurait un changement aléatoire dans la charpente de l'immeuble qui, très probablement, ne serait pas une amélioration." 19

Il n'est donc pas surprenant qu'aucune mutation utile n'a eu lieu jusqu'à ce jour. Toutes les mutations ont été nuisibles. Le scientifique évolutionniste Warren Weaver a commenté le rapport établi par le Comité sur les Effets Génétiques des Radiations Atomiques. Ce comité a été mis en place pour mener des investigations sur les mutations qui ont pu avoir lieu à cause de l'usage des armes nucléaires durant la seconde guerre mondiale :

"D'aucuns seraient étonnés d'entendre dire que la majorité des gènes mutants sont nuisibles. Car, les mutations sont une étape nécessaire dans le processus de l'évolution. Comment un effet positif - évolution à un stade supérieur de la vie - peut-il résulter de mutations dont la majorité est nuisible ?" 20 

Chaque effort consacré à "provoquer une mutation utile" s'est soldé par un échec. Pendant des décennies, les évolutionnistes ont effectué plusieurs expériences pour produire des mutations dans les drosophiles puisque ces insectes se reproduisent très rapidement et que de ce fait les mutations devaient apparaître plus vite. Or, génération après génération, aucune mutation utile n'a été constatée. Le généticien évolutionniste Gordon Taylor écrit à ce sujet :

"C'est un fait frappant, pourtant pas très mentionné que, bien que les généticiens aient élevé des mouches à fruit pendant 60 ans ou plus dans les laboratoires partout dans le monde – mouches qui produisent une nouvelle génération chaque onze jours – ils n'ont jamais observé jusqu'à maintenant l'emergence d'une nouvelle espèce distincte ou encore d'une nouvelle enzyme." 21

Un autre chercheur, Michael Pitman, commente l'échec des expériences effectuées sur les drosophiles :

"Morgan, Goldschmidt, Muller et d'autres généticiens ont soumis des générations de drosophiles à des conditions extrêmes de chaleur, froid, lumière, obscurité et traitement par produits chimiques et radiations. Toutes sortes de mutations, pratiquement toutes dérisoires ou à effet délétère positif, ont été effectuées. Une évolution faite par l'homme ? Pas vraiment. Très peu des cobayes utilisés par les généticiens arriveraient à vivre en dehors des milieux dans lesquels ils étaient élevés. En pratique, les mutants meurent, sont stériles ou ont tendance à revenir à l'état sauvage." 22

Ceci s'applique également à l'homme. Toutes les mutations qui ont été observées chez l'être humain ont été délétères. Les évolutionnistes se gardent bien d'approfondir cette question et tentent de lister même des exemples de mutations délétères comme celles-ci pour "prouver l'évolution". Toutes les mutations qui s'opèrent chez l'homme ont pour conséquences des déformations, des infirmités telles que le mongolisme, la trisomie, l'albinisme, le nanisme ou le cancer. Ces mutations sont présentées dans des livres évolutionnistes comme exemples de "mécanisme évolutionniste en activité". Nul besoin de souligner qu'un processus qui laisse les individus malades ou handicapés ne peut être "un mécanisme évolutionniste" – l'évolution est supposée produire des formes qui sont mieux adaptées à la survie. 


Depuis le début du 20ème siècle, les biologistes évolutionnistes ont cherché des exemples de mutations bénéfiques en créant des mouches mutantes. Ces efforts n'aboutirent à rien d'autres qu'à des créatures malades et difformes. La petite photo en haut montre la tête d'une mouche à fruit normale et celle qui se trouve en dessous montre la tête d'une mouche à fruit avec des pattes qui en ressortent. La grande photo à gauche représente une mouche à fruit avec des ailes déformées, résultat de mutation.

Afin de résumer ce qui précède, il existe trois raisons principales pour lesquelles les mutations ne sauraient être invoquées par les évolutionnistes au service de leur théorie : 

1) L'effet direct des mutations est nuisible : puisqu'elles se produisent par hasard, dans la majorité des cas les mutations détruisent l'organisme vivant qui les subit. La raison nous apprend que l'intervention inconsciente dans une structure parfaite et complexe n'améliorera pas celle-ci mais la détériorera plutôt. En effet, "aucune mutation utile" n'a jamais été observée.

2) Les mutations n'ajoutent jamais de nouvelles informations à l'ADN d'un organisme : en résultat des mutations, les particules qui forment l'information génétique sont arrachées de leur place ou transportées vers d'autres endroits. Les mutations ne peuvent pas permettre à un organisme vivant d'acquérir un nouvel organe ou un nouveau trait. Elles ne causent que des anomalies comme une jambe qui pend d'un dos ou une oreille qui sort d'un abdomen.

3) Afin qu'une mutation puisse être transférée à la génération suivante, elle doit avoir eu lieu dans les cellules reproductives de l'organisme : un changement qui s'opère par hasard dans une cellule ou un organe du corps ne peut pas être transférée à la génération suivante. A titre d'exemple, un œil humain altéré par les effets des radiations ou par d'autres causes ne se transmettra pas aux générations suivantes.

Il est impossible que les êtres vivants aient évolué, car il n'existe aucun mécanisme dans la nature qui puisse causer leur évolution. En plus, cette conclusion s'accorde avec la preuve des archives fossiles qui démontrent non pas l'existence d'un processus d'évolution mais tout à fait le contraire. 

Harun Yahia

(Extrait du livre de l'auteur: l'Atlas de la Création)

 


 

 Article suivant →L'ATLAS DE LA CREATION - TOME 1 - Les archives fossiles réfutent l'évolution - 15/29 -

 


 

NOTES/ 

13 Colin Patterson, "Cladistics", Interview avec Brian Leek, Peter Franz, 4 mars 1982, BBC.
14 Jonathan Wells, Icons of Evolution: Science or Myth? Why Much of What We Teach About Evolution is Wrong, Regnery Publishing, 2000, pp. 141-151.
15 Jerry Coyne, "Not Black and White", a review of Michael Majerus's Melanism: Evolution in Action, Nature, 396 (1988), pp. 35-36.
16 Stephen Jay Gould, "The Return of Hopeful Monsters", Natural History, vol. 86, juillet-août 1977, p. 28.
17 Charles Darwin, The Origin of Species: A Facsimile of the First Edition, Harvard University Press, 1964, p. 189.
18 Ibid, p. 177.
19 B. G. Ranganathan, Origins?, Pennsylvania: The Banner Of Truth Trust, 1988.
20 Warren Weaver, "Genetic Effects of Atomic Radiation", Science, vol. 123, juin 29, 1956, p. 1159.
21 Gordon R. Taylor, The Great Evolution Mystery, New York: Harper & Row, 1983, p. 48.
22 Michael Pitman, Adam and Evolution, London: River Publishing, 1984, p. 70.

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