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15 février 2010 1 15 /02 /février /2010 14:32

Certains êtres vivant subissent, à différents stades de leur vie, des transformations physiques leur permettant de mieux s’adapter à leur environnement. Cette durée de transformation est nommée métamorphose. Certains milieux, n’ayant pas suffisamment de connaissances de la biologie et des fondements de la théorie de l’évolution, essayent, de temps en temps, de montrer cette étape de transition comme un argument à leur théorie. Les sources qui montrent la métamorphose comme un exemple de l’évolution, sont des ouvrages de propagande non fondés et superficiels destinés à leurrer des catégories de la population dépourvues de connaissances suffisantes sur le sujet, les jeunes évolutionnistes et certains professeurs de biologie incompétents en la matière. Les scientifiques, considérés comme autorités dans le domaine de l’évolution et, de ce fait, disposant de connaissances détaillées des contradictions et des embarras de cette théorie ne remettent jamais à l’actualité ce genre d’argument grotesque. Car ils savent à quel point ces propos sont infondés.

 

Les papillons, les mouches et les abeilles sont des exemples d’êtres vivants qui subissent des métamorphoses. Les grenouilles, dont la vie commence dans l’eau, et se poursuit sur terre, sont aussi un exemple de métamorphose. Cette transformation n’a aucun lien avec l’évolution. Car la théorie de l’évolution base la transformation des êtres vivants sur des mutations hasardeuses. Or la métamorphose, dénuée de toute ressemblance avec cette allégation fondamentale de la théorie de l’évolution, est une étape entièrement planifiée et n’ayant aucun rapport avec le hasard et la mutation. Le facteur entraînant la métamorphose n’est pas la mutation, mais l’information génétique portée depuis la naissance. Par exemple, la grenouille, quand elle est encore en train de mener une vie sous l’eau, possède déjà dans son patrimoine génétique, les informations concernant sa vie terrestre. Les informations structurelles et fonctionnelles de l’état mature du moustique sont déjà présentes dans son code génétique, quand il est encore à l’état de larve. Cette situation est semblable pour tous les êtres vivants qui subissent une métamorphose. 

La métamorphose est une

preuve de la création 

Les études menées ces dernières années sur la métamorphose, l’ont définie comme un processus complexe contrôlé par différents gènes. Par exemple, lors de la transformation de la grenouille, les modifications concernant uniquement la queue sont contrôlés par plus d’une douzaine de gènes. Ce processus est donc uniquement réalisable par la parfaite adéquation des différents intervenants. Avec cette caractéristique, la métamorphose est un processus biologique comportant la particularité de "la complexité irréductible", l’une des preuves de la création.

La complexité irréductible est une notion développée par le professeur Michael Behe devenu célèbre pour ses travaux démontrant l’invalidité de la théorie de l’évolution. La signification de cette notion est que les systèmes et organes biologiques complexes ne peuvent fonctionner qu’avec l’adéquation et la symbiose de tous les composants qui les constituent. Le dysfonctionnement, ou l’absence d’un seul de ces composants, rend le système ou l’organe inopérant.


La conclusion sous-jacente est l’impossibilité que des structures complexes de ce genre puissent être le résultat de petites transformations continues, produites par le hasard. Les transformations subies lors de la métamorphose sont semblables. L’étape de la métamorphose se réalise par un dosage méticuleux et temporisé d’hormones, dosage influencé par différents gènes. L’apparition de la moindre erreur entraînerait la mort de l’être vivant. La prétention de la formation progressive et hasardeuse d’une étape aussi complexe est insensée. Il ne peut être question du mécanisme d’épreuve et erreur avancé par la théorie de l’évolution, lorsque la moindre erreur entraîne la mort de l’être vivant. Le vivant ne peut attendre, pendant des millions d’années, la formation par le hasard des pièces manquantes.

 

Lorsque cette vérité est bien prise en main, nous voyons que ce sujet ne peut, en aucun cas, servir de preuve comme le prétendent certaines personnes dénuées de connaissances suffisantes sur les êtres vivants qui subissent des métamorphoses. Bien au contraire, la complexité de ces êtres vivants, la sophistication de cette étape, et des systèmes qui contrôlent cette étape, sont des preuves indéniables d’une parfaite création.


Harun Yahia

 



Pourquoi la formation de l’ADN est-elle inexplicable par le hasard?QUESTION N°18
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